http://www.actu24.be/article/belgique/plus_de_6_milliards_pour_sauver_dexia/195451.aspx

La Belgique, la France et le Luxembourg vont investir 6,4 milliards d'euros dans le sauvetage de la banque Dexia.

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Tous les liens sur la crise financièreLes gouvernements belge, français et luxembourgeois ainsi que les actionnaires du groupe Dexia ont convenu d'investir un total de 6,4 milliards d'euros, sous forme d'une augmentation de capital, pour soutenir le groupe franco-belge, a annoncé mardi matin le Premier ministre Yves Leterme.

C'est la deuxième intervention de ce type après le sauvetage dimanche du bancassureur belgo-néerlandais Fortis. "C'est un accord important et complexe qui concerne 3 pays et a nécessité la présence de 10 parties autour de la table. C'est une opération qui permet de renforcer la viabilité du groupe Dexia et de garantir l'épargne des gens, ce qui est notre première préoccupation", ont déclaré mardi matin à la presse le Premier Leterme et le ministre des Finances Didier Reynders.

La Belgique participera à l'augmentation de capital à hauteur de 3 milliards d'euros. Au sein des parties prenantes belges, le gouvernement fédéral versera 1 milliard d'euros, de même que les trois Régions, à hauteur de 500 millions pour la Flandre, de 350 millions pour la Région wallonne et de 150 millions pour la Région de Bruxelles-Capitale.

Enfin, les actionnaires institutionnels belges de Dexia débourseront 1 milliard d'euros, à charge pour le Holding communal d'injecter 500 millions d'euros, Arcofin mettant 350 millions d'euros et Ethias 150 millions d'euros. A l'instar des parties belges, la France interviendra à hauteur de 3 milliards d'euros, dont 2 milliards seront apportés par la Caisse des dépôts et consignations (CDC) et 1 milliard par le gouvernement français. Cette injection de capitaux français permettra aux actionnaires français de bénéficier d'une participation "légèrement supérieure" à la minorité de blocage de 25% au sein du capital de Dexia, a précisé Didier Reynders.

Un signal fort

De son côté, le Grand-Duché du Luxembourg mettra 376 millions d'euros dans le plan, sous la forme d'obligations convertibles. "Cette opération renforce la confiance des épargnants dans le système financier européen. Nous avons sauvé Fortis et Dexia mais au-delà, c'est tout le système financier qui est sauvé", a pour sa part déclaré le ministre luxembourgeois du Trésor et du Budget Luc Frieden. L'accord conclu prévoit en outre que les parties s'engagent à "présenter les mesures nécessaires pour améliorer en profondeur la gouvernance du groupe" Dexia en général, et améliorer les organes de gestion en particulier.

Des changements sont dès lors à prévoir au sein des organes de direction du groupe Dexia. Interrogées sur l'éventualité que d'autres banques soient également en difficultés, les autorités belges ont réaffirmé leur détermination à faire face à la crise financière. "Après Fortis, c'est un signal fort que nous adressons aux marchés", a encore déclaré Yves Leterme.

Avec Belga




C'est bien beau tout ça mais ça ne veut rien dire,.....enfin ça ne nous situe pas sur l'état de leurs actifs et leurs passifs, ....si vraiment ça élimine les risques de faillite blablabla. Bref: je fais quoi de mon pognon ???? Je liquide mon bon vieux livret et je planque le fric sous mon matelas ?????

Non, ca ne sert à rien de stocker des liquidités.

Car c'est justement ce qui va se faire rare.

Et si ca tournait à la guerre civile dans un conflit pour les ressources alimentaires,
les gens qui auront des liquidités risquent de se faire massacrer par leurs congénaires.

(Et quand tu as des liquidités, on est bien d'accord, c'est pour les utiliser non ?
donc le jour ou tu vas essayer d'acheter quelquechose avec de l'argent tu vas y perdre ta vie)

Bienvenue dans la jungle ....

De plus, si tu veux sortir ton argent de la banque,
en te disant que tu ne vas pas l'utiliser quand ca ira au plus mal
pour ne pas te faire repérer et ne pas attirer l'attention sur toi,
alors dis toi bien que quand la disette viendra,
tu sera tellement tenté d'utiliser cet argent contre
des biens alimentaires que tu finira bien par taper dedans
et tu te fera repérer ....

Ouii C effrayant quand même...

Men fous je mettrais sur une banque virtuelle ...Ca compte pas si ?
jy connais rien ds ces histoires de banque perso ...

Ca on avait remarqué Nutella

Mais merci pour la piqûre de rappel

nutell a écrit:Men fous je mettrais sur une banque virtuelle ...

Bein ta banque virtuelle n'est pas à l'abri elle non plus de disparaitre comme les autres ...

Moi j'ai plein de liquidité...

En bourse...

Misère...

Si vous voulez vraiment acheter quelque chose .....

... achetez un flingue.

Ca sera bientôt votre seul salut pour aller dévaliser les distributeurs
alimentaires parmis tant d'autres sans vous faire lincher ...



Bienvenus dans un monde d'hommes.

Quels risques pour vos produits de placement ?

JEAN-FRANCOIS LANCKMANS

mardi 30 septembre 2008, 14:25

Compte d'épargne et compte à terme, l'épargne pension, les actions, les sicav et les produits structurés, les obligations.
Quels risques pour vos produits de placement ?

Compte d'épargne et compte à terme.

Les taux sont clairement annoncés. Le risque est nul, quelle que soit la banque. En cas de faillite, le fonds de protection vous garantit le remboursement de 20.000 euros au maximum. Un montant qui vaut par titulaire de compte et par banque.

L'épargne-pension.

Les fonds proposés par les banques sont notamment investis en actions belges. Quand la Bourse plonge, la rentabilité des fonds chute aussi. Le conseil est donc de ne pas vendre et d'attendre en espérant que les Bourses remontent. L'assurance pension (branche 21) subit aussi indirectement les effets de la crise actuelle. Mais ces produits sont plus largement investis en obligations. Ils garantissent aussi une rémunération minimum. La situation est différente pour les produits d'assurance de la branche 23, qui sont liés à des fonds de placement et qui, eux, ne garantissent aucun rendement.

Les actions.

C'est un produit risqué. Faut-il acheter quand tout s'effondre ? Les analystes sont très prudents pour l'instant. Le secteur financier n'a en tout cas pas la cote. Et « l'action de bon père de famille » est désormais un concept à ranger aux oubliettes.

Les sicav et les produits structurés.

La gamme de ces produits proposés par les banques est très étendue. Comme la gamme des risques. Les produits structurés sont des formules plus sophistiquées, alliant capital garanti et des coupons réguliers, que les banques proposent souvent aux clients qui étaient des fidèles des euro-obligations. Problème : ces produits d'une grande technicité manquent de transparence.

Les obligations.

En théorie, les obligations sont considérées comme des placements sans risque. sauf si l'émetteur fait faillite. Le problème des obligations, c'est l'inflation : elle fait monter les taux d'intérêt et fait donc chuter la valeur des obligations qu'on a en portefeuille. Mais si vous gardez le titre jusqu'à l'échéance pas de problème. Dans toutes les banques, l'épargnant sera remboursé, à l'échéance, à 100 %, de ce qu'il a investi, et entre-temps, il aura touché l'intérêt.

http://www.lesoir.be/actualite/economie/quels-risques-pour-vos-2008-09-30-644183.shtml

T'es en grand forme morpion

Mais ce que tu postes est d'un chiant,....

Ca me rappelle mes études,.....

PetRouge a écrit:...ce que tu postes est d'un chiant,... Ca me rappelle mes études...

DeProfundisMorpionibus a écrit:Moi j'ai plein de liquidité... En bourse...

Tsssss....

Vraiment ?

Mouarf...

Quoi ????

Plein tes bourses d'étude ????

Bobonne est fâchée avec toi ????

La garantie 100.000 euros par personne et par compte n'est pas encore acquise...

Et quand bbien même...

Acheter de l'or, des diamants, un gros coffre ?

Trop tard...

Diversifions donc...

ING c'est solide ?

Rabo bank ?

Et Kaupting Edge ?

Pas de subprimes qui traînent ?

Ils ont de la chance les pauvres...

Misère...

Kaupthing nationalisée, les transactions belges bloquées

Rédaction en ligne

jeudi 09 octobre 2008, 13:25
Toutes les transactions de la division belge de Kaupthing, la plus grande banque d’Islande, ont été bloquées par le « gendarme boursier » luxembourgeois la Commission de Surveillance du Secteur Financier (CSSF), après la reprise de cette banque par le gouvernement islandais.
Kaupthing nationalisée, les transactions belges bloquées



Kaupthing Belgique est une sous-division de Kaupthing Luxemburg. Deux autres banques ont été placées sous la protection du gouvernement islandais : Landsbanki (sous curatelle des autorités) et Glitnir Bank qui a été complètement nationalisée.

Kaupthing est principalement active en Belgique via son compte d’épargne internet Kaupthing Edge qui offre un rendement de 4,25 % et une prime d’accroissement de 2 %, les meilleures conditions sur le marché belge.

Le gouvernement islandais a désormais sous sa coupe les trois plus grandes banques du pays, une opération menée tambour battant alors que l’ampleur de la crise financière ébranle le pays nordique.

Après Glitnir puis Landsbanki, nationalisées en début de semaine, le gouvernement islandais a annoncé jeudi la mise sous tutelle de Kaupthing, la première banque du pays.

« L’autorité financière islandaise, conformément au pouvoir accordé par le parlement islandais, a pris le contrôle de Kaupthing pour maintenir la continuité des opérations bancaires commerciales en Islande », a annoncé l’Autorité financière islandaise (FME) dans un communiqué.

La direction de Kaupthing, démissionnaire, assure avoir elle-même sollicité sa reprise en main par la FME. Elle impute ses difficultés au gouvernement qui a pris dans l’urgence une série de mesures ayant conduit à la nationalisation des trois plus grandes banques.

« La banque se portait bien et les résultats du troisième trimestre s’annonçaient bons. Les dépôts ont augmenté chaque jour de 4 milliards de couronnes islandaises en moyenne ces six derniers mois », s’est défendue Kaupthing dans un communiqué.

A l’origine de la libéralisation du système financier dont la crise ébranle l’Islande, le gouvernement islandais fait brusquement volte-face depuis quelques jours pour sauver ce qui peut l’être.

Le Parlement a adopté lundi une loi donnant de larges pouvoirs au gouvernement du Premier ministre Geir Haarde dans le secteur financier, lui attribuant notamment le droit de mettre les banques sous la coupe de l’Etat.

(Belga, AFP)

AFP
Echanges suspendus à la Bourse de Reykjavik

Les échanges à la Bourse de Reykjavik, malmenée par la crise qui frappe le secteur financier en Islande, ont été suspendus jusqu'à lundi, a annoncé jeudi l'opérateur boursier OMX.

"En raison de conditions de marché inhabituelles, OMX Iceland a décidé jeudi de suspendre temporairement les échanges sur ses marchés d'actions. Les marchés rouvriront lundi 13 octobre", précise l'opérateur dans un communiqué.

Oui oui, j'en avais déjà entendu parler début d'après-midi,...

http://www.paperjam.lu/archives/2008/10/0910_nl_Kaupthing/index.html

La Kaupthing suspend ses activités au Luxembourg ← Revenir à la version écran Kaupthing Bank est présent au Luxembourg
depuis 1998 (Photo: Luc Deflorenne)
Par Nicolas Raulot, publié le 09.10.2008

Une fermeture pure et simple du bureau luxembourgeois semble en cours. Environ 240 emplois sont en jeu.
Les pires informations circulent ce matin au sujet des activités de la Kaupthing Bank Luxembourg, dont le siège se situe au 35 de l’avenue Kennedy au Kirchberg. Il est même question d’une fermeture pure et simple de la banque islandaise au Grand-Duché, active essentiellement en banque privée et en gestion de fortune. 240 emplois sont directement menacés.

«Nous avons été informés ce matin que les opérations de la banque étaient suspendues pour la journée sans que l’on nous donne plus de précision», indique Nathalie Dondelinger, marketing and communication manager de l’établissement. Mais des sources internes évoquent une clôture définitive et un départ des employés.

Sont également concernées les activités de la Kaupthing Bank en Belgique (environ 30 personnes sont employées à Bruxelles et à Anvers) et en Suisse (13 le sont à Genève), filiales de la Kaupthing Bank Luxembourg.

Un Etat au bord de la faillite
Depuis quelques jours, la situation de l’institution financière s’était brutalement aggravée, en même temps que celle de Landsbanki et Glitnir, deux de ses compatriotes déjà nationalisées. Ce jeudi, la Kaupthing Bank a publié un communiqué, indiquant passer sous le contrôle du régulateur local, la FME et donc de l’Etat. «L’autorité financière islandaise conformément au pouvoir accordé par le Parlement islandais, a pris le contrôle de Kaupthing pour maintenir la continuité des opérations bancaires commerciales en Islande», confirme elle-même la FME.

Si les dépôts semblent garantis en Islande, les établissements locaux se débarrassent au plus vite de leurs filiales étrangères pour se renflouer, alors que l’Etat lui-même semble au bord de la faillite.

Lors de la publication des résultats semestriels, le 4 août dernier, le CEO du groupe, Hreidar Már Sigurdsson déclarait: «Les performances de la banque s’inscrivent dans la continuité». L’établissement faisait état d’une augmentation des dépôts de 28% durant le deuxième trimestre (lire ICI).

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