Allez! Bonne fête les cloches...
+4
SlowLife
Flower
Flying_Muskitos
DeProfundisMorpionibus
8 participants
Page 1 sur 3
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Allez! Bonne fête les cloches...
Je m'en vais suivre les conseils d'Agnès...
Misère...
Maintenant ou jamais
Par Agnès Maillard le jeudi 9 avril 2009, 15:27
La course au fric pour payer le loyer (l'emprunt...) quelques mois de plus est en passe de devenir un sport international de haut niveau auquel je m'adonne comme tout le monde, au détriment de ce blog, entre autres. Mais il s'agit bien là de tout ce que je consens à sacrifier à la détérioration entropique de notre vieux monde.
Be quietParce que, pour le reste, tintin ! c'est le moment ou jamais d'en profiter à fond les ballons, non pas en se jetant à corps perdu dans la consommation à outrance ou dans l'individualisme forcené, mais en prenant bien conscience qu'à l'heure où le bateau coule sans que les canots aient été mis à la baille, il faut savourer sauvagement chaque mesure que persiste à nous jouer l'orchestre dans la débâcle. Il n'a jamais été aussi urgent de goûter à la douceur de vivre, jamais aussi important d'en finir avec les conventions rigides, les faux-semblants, les faux-culs, les excuses de merde, les fâcheux, toute cette accumulation de petits renoncements et grands ratages qui nous pourrissent constamment la vie en échange de la promesse d'une récompense future. Ce n'est pas non plus la philosophie égoïste du après nous, la fin du monde. C'est juste que la fin du monde, c'est pour notre gueule et c'est imminent. Fallait bien que ça tombe sur quelqu'un, à force, un peu comme ma grand-mère qui annonce à chaque printemps que c'est le dernier qu'elle verra fleurir. À ce jeu-là, forcément, elle finira par avoir raison.
Tôt ou tard.
No future
Il ne s'agit pas de se lacérer les fringues en gémissant, de s'arracher les cheveux ou de se couvrir le visage de cendres, ce n'est pas comme si nous avions tant à perdre. Certains, comme sœur Anne à sa fenêtre, guettent le retour à la normale dans le monde qui rougeoit. Sauf que ce normal-là, nous sommes combien à réellement devoir le regretter ? Une normalité où une personne sur 5 a faim, où quelques-uns profitent de l'essentiel des ressources pendant qu'une immense majorité doit se déchirer la gueule pour les miettes ? Une normalité où les petits veinards de notre acabit passent l'essentiel de leur temps de veille à s'épuiser dans des boulots imbéciles et ingrats au lieu de profiter de la vie, des rires de leurs enfants, des bonnes blagues de leurs amis véritables. Une normalité où l'on se gargarise de bonnes intentions que personne n'a l'intention d'appliquer, où l'on parle de développement durable là où il aurait fallu penser en terme d'humanité soutenable.
Bref, le mur est d'autant plus proche que cela fait un sacré bout de temps que nous sommes lancés à pleine vitesse vers lui en klaxonnant comme des cons pour qu'il s'évapore de lui-même. En fait, je pense même que nous l'avons déjà explosé, que nous sommes déjà de l'autre côté du miroir, mais la force d'inertie d'un système civilisationnel tel que le nôtre est telle que nous ne nous sommes encore rendu compte de rien. Nous continuons sur notre lancée, portés par la force de l'habitude, englués dans la rassurante rationalité de la banalité quotidienne, nous agissons comme nous l'avons toujours fait, parce que c'est ce que nous savons faire le mieux, un peu comme le gamin qui ne se rend jamais compte qu'un beau matin, il n'a plus besoin de penser pour nouer ses lacets.
C'est exactement là que nous sommes, dans l'apparence de la normalité, dans la routine, l'illusion. Nous maintenons le mythe de notre société par la seule force de notre aveuglement et notre profonde réticence au changement, quand bien même notre quotidien nous révulse profondément, quand bien même nous devons vivre des vies sans relief, sans grandeur, bouffer de la merde à chaque repas, subir les autres, nous emmerder chaque minute de notre vie, nourrir le gouffre insondable de nos regrets, pourrir ce qu'il y a de beau et de grand en nous. Parce que ça, au moins, on connaît. Et ce que l'on connaît est toujours plus rassurant que le grand plongeon dans l'inconnu.
Nous ne sommes plus qu'à un battement d'ailes de colibri du moment où le voile se déchirera devant nos yeux, avant que le rouleau compresseur de l'Histoire ne nous passe sur l'échine, avant que tout ce que nous connaissons, aimons ou pensons aimer, tout ce qui fait notre réalité ne sombre dans l'oubli.
C'est terrifiant.
Surtout que les effondrements de civilisation se font toujours dans un grand fracas qui résonne longtemps à travers les siècles, et qu'il est nettement plus confortable de les lire dans un bouquin de Decaux, le cul vissé dans un bon fauteuil en cuir, les pieds tournés vers l'âtre crépitant. Mais bon, d'un autre côté, nous allons forcément vivre des instants intéressants.
Au lieu de se pourrir cette fin de règne en nous lamentant contre ce putain de sort qui s'acharne sur nous alors que ceux qui ont foutu la merde devraient réussir à bouffer leur extrait de naissance juste à temps pour ne pas contempler l'océan de désespoir qu'ils nous ont légué, profitons plutôt de ces derniers instants de répit avant la tempête, cessons de remettre l'essentiel au lendemain, qui ne viendra peut-être jamais, cessons de nous mentir, de nous brider, de nous faire chier pour rien.
Toi qui me lis, finis quand même ce texte, puis éteins ta machine et retourne à la vraie vie, celle que tu n'as jamais osé vivre, parce que tu t'imaginais avoir quelque chose à perdre. Fais-toi porter pâle et va contempler la pluie de pétales qui s'épanouit juste en ce moment sous les arbres fruitiers, va voir la collègue du bureau d'à côté à qui tu n'as jamais osé parler et invite-la à une longue, très longue balade sous le soleil du printemps. Rentre chez toi et va embrasser ta femme, tes gosses, ton chien et même le voisin, s'il s'était un peu attardé dans ton pieu avec ta femme. Tire-toi et va rendre visite à tes vieux amis que tu as presque perdus de vue à force de toujours avoir mieux à faire que d'aller les voir, alors que tu n'habites qu'à 1 heure de route de chez eux et jouis en paix du silence qui peut s'installer entre vous sans que cela ne vous mette mal à l'aise, juste dans le plaisir d'être ensemble. Envoie chier le formateur en conneries psycho-bordel-trucs qui tente de te pondre dans la tête ses idées de winner périmées depuis au moins 3 siècles et te fait perdre un temps précieux que tu pourrais passer avec des gens juste sympa ou même agréables. Va rameuter les collègues qui s'échinent comme toi pour juste éviter le coup de pied au cul et offrez-vous une belle sparadrap-party avec les cadres sup de ta grosse boiboîte en dépotant un barbec de merguez avec des vieux dossiers de recouvrement. Fais tout ce que tu as remis à plus tard, tout ce que tu jugeais trop con, trop immature, trop plus de ton âge. Va faire du patin à roulettes avec tes gosses et vautre-toi la gueule dans un grand éclat de rire, cours au sommet du pont du Gard pour te faire ton vieux trip de chute libre, les pieds retenus par un ancestral slip de sumo. Retrouve tes 12 ans, fais péter la cravate, le tailleur cintré, le bleu de travail, la blouse de larbin, les convenances, débarrasse-toi de tes peurs, de tes hontes et des faux amis. Reprends les pinceaux que tu avais abandonnés pour une très rationnelle carrière d'ingénieur en informatique, recommence à glander comme un ado, écris un livre, publie tes poèmes tellement pourris que même ton conjoint ignore leur existence, ne te raconte plus d'histoires, ne te cherche plus d'excuses, libère-toi de ton pire bourreau : toi!
Profite de ta vie tant que ton sang pulse dans tes veines, que tes jambes te portent un peu plus loin, tant que tu as réellement la possibilité de le faire. Remplis ta mémoire de tous ces moments uniques et merveilleux, nourris-toi de cette euphorie incroyable que tu t'es toujours refusée, capitalise sans vergogne toutes les particules de bonheur que tu peux rafler, démultiplie tes investissements affectifs en les partageant avec le plus de monde possible, sème la joie autour de toi et récolte des tombereaux d'espoir, des brassées d'envie de lendemains qui chantent, que ta gentillesse soit impitoyable pour tous les empêcheurs de vivre en rond, les connards, les profiteurs, les faux-culs, les donneurs de leçons, les moralisateurs et les peine-à-jouir.
Fais le plein d'allégresse.
Pour survivre à la suite.
Pour avoir la force et l'envie d'inventer de nouveaux lendemains.
http://blog.monolecte.fr/post/2009/04/09/Maintenant-ou-jamais
Misère...
Maintenant ou jamais
Par Agnès Maillard le jeudi 9 avril 2009, 15:27
La course au fric pour payer le loyer (l'emprunt...) quelques mois de plus est en passe de devenir un sport international de haut niveau auquel je m'adonne comme tout le monde, au détriment de ce blog, entre autres. Mais il s'agit bien là de tout ce que je consens à sacrifier à la détérioration entropique de notre vieux monde.
Be quietParce que, pour le reste, tintin ! c'est le moment ou jamais d'en profiter à fond les ballons, non pas en se jetant à corps perdu dans la consommation à outrance ou dans l'individualisme forcené, mais en prenant bien conscience qu'à l'heure où le bateau coule sans que les canots aient été mis à la baille, il faut savourer sauvagement chaque mesure que persiste à nous jouer l'orchestre dans la débâcle. Il n'a jamais été aussi urgent de goûter à la douceur de vivre, jamais aussi important d'en finir avec les conventions rigides, les faux-semblants, les faux-culs, les excuses de merde, les fâcheux, toute cette accumulation de petits renoncements et grands ratages qui nous pourrissent constamment la vie en échange de la promesse d'une récompense future. Ce n'est pas non plus la philosophie égoïste du après nous, la fin du monde. C'est juste que la fin du monde, c'est pour notre gueule et c'est imminent. Fallait bien que ça tombe sur quelqu'un, à force, un peu comme ma grand-mère qui annonce à chaque printemps que c'est le dernier qu'elle verra fleurir. À ce jeu-là, forcément, elle finira par avoir raison.
Tôt ou tard.
No future
Il ne s'agit pas de se lacérer les fringues en gémissant, de s'arracher les cheveux ou de se couvrir le visage de cendres, ce n'est pas comme si nous avions tant à perdre. Certains, comme sœur Anne à sa fenêtre, guettent le retour à la normale dans le monde qui rougeoit. Sauf que ce normal-là, nous sommes combien à réellement devoir le regretter ? Une normalité où une personne sur 5 a faim, où quelques-uns profitent de l'essentiel des ressources pendant qu'une immense majorité doit se déchirer la gueule pour les miettes ? Une normalité où les petits veinards de notre acabit passent l'essentiel de leur temps de veille à s'épuiser dans des boulots imbéciles et ingrats au lieu de profiter de la vie, des rires de leurs enfants, des bonnes blagues de leurs amis véritables. Une normalité où l'on se gargarise de bonnes intentions que personne n'a l'intention d'appliquer, où l'on parle de développement durable là où il aurait fallu penser en terme d'humanité soutenable.
Bref, le mur est d'autant plus proche que cela fait un sacré bout de temps que nous sommes lancés à pleine vitesse vers lui en klaxonnant comme des cons pour qu'il s'évapore de lui-même. En fait, je pense même que nous l'avons déjà explosé, que nous sommes déjà de l'autre côté du miroir, mais la force d'inertie d'un système civilisationnel tel que le nôtre est telle que nous ne nous sommes encore rendu compte de rien. Nous continuons sur notre lancée, portés par la force de l'habitude, englués dans la rassurante rationalité de la banalité quotidienne, nous agissons comme nous l'avons toujours fait, parce que c'est ce que nous savons faire le mieux, un peu comme le gamin qui ne se rend jamais compte qu'un beau matin, il n'a plus besoin de penser pour nouer ses lacets.
C'est exactement là que nous sommes, dans l'apparence de la normalité, dans la routine, l'illusion. Nous maintenons le mythe de notre société par la seule force de notre aveuglement et notre profonde réticence au changement, quand bien même notre quotidien nous révulse profondément, quand bien même nous devons vivre des vies sans relief, sans grandeur, bouffer de la merde à chaque repas, subir les autres, nous emmerder chaque minute de notre vie, nourrir le gouffre insondable de nos regrets, pourrir ce qu'il y a de beau et de grand en nous. Parce que ça, au moins, on connaît. Et ce que l'on connaît est toujours plus rassurant que le grand plongeon dans l'inconnu.
Nous ne sommes plus qu'à un battement d'ailes de colibri du moment où le voile se déchirera devant nos yeux, avant que le rouleau compresseur de l'Histoire ne nous passe sur l'échine, avant que tout ce que nous connaissons, aimons ou pensons aimer, tout ce qui fait notre réalité ne sombre dans l'oubli.
C'est terrifiant.
Surtout que les effondrements de civilisation se font toujours dans un grand fracas qui résonne longtemps à travers les siècles, et qu'il est nettement plus confortable de les lire dans un bouquin de Decaux, le cul vissé dans un bon fauteuil en cuir, les pieds tournés vers l'âtre crépitant. Mais bon, d'un autre côté, nous allons forcément vivre des instants intéressants.
Au lieu de se pourrir cette fin de règne en nous lamentant contre ce putain de sort qui s'acharne sur nous alors que ceux qui ont foutu la merde devraient réussir à bouffer leur extrait de naissance juste à temps pour ne pas contempler l'océan de désespoir qu'ils nous ont légué, profitons plutôt de ces derniers instants de répit avant la tempête, cessons de remettre l'essentiel au lendemain, qui ne viendra peut-être jamais, cessons de nous mentir, de nous brider, de nous faire chier pour rien.
Toi qui me lis, finis quand même ce texte, puis éteins ta machine et retourne à la vraie vie, celle que tu n'as jamais osé vivre, parce que tu t'imaginais avoir quelque chose à perdre. Fais-toi porter pâle et va contempler la pluie de pétales qui s'épanouit juste en ce moment sous les arbres fruitiers, va voir la collègue du bureau d'à côté à qui tu n'as jamais osé parler et invite-la à une longue, très longue balade sous le soleil du printemps. Rentre chez toi et va embrasser ta femme, tes gosses, ton chien et même le voisin, s'il s'était un peu attardé dans ton pieu avec ta femme. Tire-toi et va rendre visite à tes vieux amis que tu as presque perdus de vue à force de toujours avoir mieux à faire que d'aller les voir, alors que tu n'habites qu'à 1 heure de route de chez eux et jouis en paix du silence qui peut s'installer entre vous sans que cela ne vous mette mal à l'aise, juste dans le plaisir d'être ensemble. Envoie chier le formateur en conneries psycho-bordel-trucs qui tente de te pondre dans la tête ses idées de winner périmées depuis au moins 3 siècles et te fait perdre un temps précieux que tu pourrais passer avec des gens juste sympa ou même agréables. Va rameuter les collègues qui s'échinent comme toi pour juste éviter le coup de pied au cul et offrez-vous une belle sparadrap-party avec les cadres sup de ta grosse boiboîte en dépotant un barbec de merguez avec des vieux dossiers de recouvrement. Fais tout ce que tu as remis à plus tard, tout ce que tu jugeais trop con, trop immature, trop plus de ton âge. Va faire du patin à roulettes avec tes gosses et vautre-toi la gueule dans un grand éclat de rire, cours au sommet du pont du Gard pour te faire ton vieux trip de chute libre, les pieds retenus par un ancestral slip de sumo. Retrouve tes 12 ans, fais péter la cravate, le tailleur cintré, le bleu de travail, la blouse de larbin, les convenances, débarrasse-toi de tes peurs, de tes hontes et des faux amis. Reprends les pinceaux que tu avais abandonnés pour une très rationnelle carrière d'ingénieur en informatique, recommence à glander comme un ado, écris un livre, publie tes poèmes tellement pourris que même ton conjoint ignore leur existence, ne te raconte plus d'histoires, ne te cherche plus d'excuses, libère-toi de ton pire bourreau : toi!
Profite de ta vie tant que ton sang pulse dans tes veines, que tes jambes te portent un peu plus loin, tant que tu as réellement la possibilité de le faire. Remplis ta mémoire de tous ces moments uniques et merveilleux, nourris-toi de cette euphorie incroyable que tu t'es toujours refusée, capitalise sans vergogne toutes les particules de bonheur que tu peux rafler, démultiplie tes investissements affectifs en les partageant avec le plus de monde possible, sème la joie autour de toi et récolte des tombereaux d'espoir, des brassées d'envie de lendemains qui chantent, que ta gentillesse soit impitoyable pour tous les empêcheurs de vivre en rond, les connards, les profiteurs, les faux-culs, les donneurs de leçons, les moralisateurs et les peine-à-jouir.
Fais le plein d'allégresse.
Pour survivre à la suite.
Pour avoir la force et l'envie d'inventer de nouveaux lendemains.
http://blog.monolecte.fr/post/2009/04/09/Maintenant-ou-jamais
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
Hey DPM
j'suis en mopette today
t'veux v'nir faire la photo avec le bol sur la tronche ? ! ?
j'suis en mopette today
t'veux v'nir faire la photo avec le bol sur la tronche ? ! ?
Flying_Muskitos- Boredmestre
- Messages : 622
Date d'inscription : 16/10/2008
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
DeProfundisMorpionibus a écrit:
....Profite de ta vie tant que ton sang pulse dans tes veines, que tes jambes te portent un peu plus loin, tant que tu as réellement la possibilité de le faire. Remplis ta mémoire de tous ces moments uniques et merveilleux, nourris-toi de cette euphorie incroyable que tu t'es toujours refusée, capitalise sans vergogne toutes les particules de bonheur que tu peux rafler, démultiplie tes investissements affectifs en les partageant avec le plus de monde possible, sème la joie autour de toi et récolte des tombereaux d'espoir, des brassées d'envie de lendemains qui chantent, que ta gentillesse soit impitoyable pour tous les empêcheurs de vivre en rond, les connards, les profiteurs, les faux-culs, les donneurs de leçons, les moralisateurs et les peine-à-jouir.
Fais le plein d'allégresse.
Pour survivre à la suite
pourquoi vous le faites pas tous les jours ca vous ici ?
Mais c'est ça la vie , profiter de tout à fond , se faire plaisir et faire plaisir !
Marre de tous ceux surlignés en gras , parce qu'ils jugent etc .. on vous emmerde ! et j'fais ce que je veux !( dsl pour le coup de gueule , j'sais qu'y a des péteuses qui lisent ici ce que j'écris alors c'est pour elles !)
Vu qu'il doit rester une bonne trentaine d'années avec de devenir moins "jeunes" ,même si la jeunesse est dans l'esprit , c mieux quand l'physique suit , et bien pour une fois c'est un texte qui vient d'être posté auquel j'adhère totalement ( et que j'ai lu en entier ) !
ca m'a remotivée de lire "que ta gentillesse soit impitoyable" ,j'culpabiliserai moins d'être trop bonne trop conne pour une fois !
Bon j'retourne place St Marc , j'ai pris du pain pour les pigeons ..
Flower- Saint Esprit
- Messages : 162
Date d'inscription : 15/01/2009
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
DeProfundisMorpionibus citant une certaine Agnès a écrit:Il n'a jamais été aussi urgent de goûter à la douceur de vivre, jamais aussi important d'en finir avec les conventions rigides, les faux-semblants, les faux-culs, les excuses de merde, les fâcheux, toute cette accumulation de petits renoncements et grands ratages
Dommage d'attendre que le monde change, avant de changer soi-même et de suivre ce genre de recommandations.
Elle aurait peut-être mieux fait de lire Guy Corneau ("Victime des autres, bourreau de soi-même") que de nous sortir autant de longues tirades pour si peu de substance. L'intention est bonne. Mais le résultat est décevant.
'fin bref. Comme d'habitude, rien de bien neuf sous le soleil...
SlowLife- Saint Esprit
- Messages : 95
Date d'inscription : 29/01/2009
Localisation : Au paradis des bonsai
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
Et toi Slow, quel genre de substance nous proposes-tu? Elle a bien le droit d'écrire ce qu'elle veut sur son blog la madame...
Lis'- Boredmestre
- Messages : 527
Date d'inscription : 03/07/2008
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
Lis,
réfléchir est un processus qui demande un peu d'efforts, ce n'est pas juste aligner des idées dans le désordre...
réfléchir est un processus qui demande un peu d'efforts, ce n'est pas juste aligner des idées dans le désordre...
SlowLife- Saint Esprit
- Messages : 95
Date d'inscription : 29/01/2009
Localisation : Au paradis des bonsai
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
T'es fortiche pour donner des leçons à tout le monde et pour critiquer, mais jusqu'ici tu n'as jamais rien pondu de "substantiel"...
Lis'- Boredmestre
- Messages : 527
Date d'inscription : 03/07/2008
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
Lis, s'il s'agit simplement d'occuper son temps (parce que la vie en-dehors d'Internet est peut-être vide de sens ou d'occupations?) ou -pire encore- d'écrire dans le but de se gargariser de dizaines de "c'est vachement bien ce que tu écris" (culture du narcissisme), non merci. Nicht mein Bier (pas/rien pour moi), car je m'en balance comme de l'an 40 de ce que pensent les autres - à fortiori de ce que peuvent penser des inconnu(e)s sur internet... pfff...).
N'y a-t-il pas suffisamment de personnes qui passent leur vie et perdent l'essentiel de leur temps sur Internet ?
Nous en avons tous dans notre entourage. Et personne n'est à l'abri que ça ne lui arrive pas un jour :
Le mari qui en a marre d'entendre les cris ou pleures de ses enfants et qui, peu à peu, s'isole tous les soirs dernière son écran d'ordinateur, laissant son épouse tout gérer (j'en connais quelques-uns comme ça qui sont capables de raconter leurs soucis à un ami proche pendant des heures mais qui n'entreprennent rien concrètement pour changer les choses... tellement ils se sentent dépassés par les évènements du quotidien...). Ou celui dont la vie de couple bat de l'aile depuis des années sans jamais avoir essayé de changer les choses et qui préfère s'amuser sur internet et céder à la facilité (c'est plus facile de s'isoler derrière son écran que de faire l'effort d'écouter son épouse)... Ou les célibataires en quête d'âmes soeurs idéalisées, attendant désespérément chaque matin un message dans leur boite (isolement affectif qui touche malheureusement de plus en plus de personnes). Ou le bobo qui a jeté ses idéaux à la poubelle depuis belle lurette, pour se conformer aux obligations du métro-boulot-dodo (comme ceux qu'il critiquait quand il avait vingt ans), et qui aujourd'hui, à quarante ans, écrit un "no future" pubère sur son blog aulieu de se bouger les fesses et d'aller participer à une manifestation dans la rue, quand bien même il est ulcéré chaque matin par les informations qu'il lit dans les journaux...
Lis, Internet est un formidable outil d'information (et je suis le premier à m'en réjouir quand je dois chercher rapidement une info qui me manque sur un dossier pour un de mes clients ou quand je pose, par exemple, une question sur un forum d'experts à des confrères dans ma profession). Mais c'est l'utilisation d'Internet qui est problématique et même dangereuse : isolement social et affectif, culture du narcissisme (comme ci-dessus), etc.
Pour revenir au texte ci-dessus, aligner des phrases dans le désordre n'est pas réfléchir. Déverser une prose indigeste sur Internet c'est faire perdre son temps à ceux & celles qui le lisent.
Contrairement aux apparences, s'obliger à se concentrer sur l'essentiel de son message (et ne pas simplement céder à la facilité de remplir des lignes sans avoir réfléchi à comment on veut faire passer son message) est une aide pour démarrer quand on prend sa plume. Faire un premier jet, relire, laisser reposer, relire à nouveau, etc...
Exactement ce que cette personne n'a pas fait.
Comme déjà dit, l'intention est bonne, et il y a de la matière.
Mais le résultat est médiocre et manque de "saveur". On imagine où elle veut aller. Mais pour y arriver, au secours... quel calvaire... c'est poussif, il y a des répétitions, ça part dans tous les sens...
Dommage.
Et puis, surtout, ce qui est le plus triste c'est ça :
N'y a-t-il pas suffisamment de personnes qui passent leur vie et perdent l'essentiel de leur temps sur Internet ?
Nous en avons tous dans notre entourage. Et personne n'est à l'abri que ça ne lui arrive pas un jour :
Le mari qui en a marre d'entendre les cris ou pleures de ses enfants et qui, peu à peu, s'isole tous les soirs dernière son écran d'ordinateur, laissant son épouse tout gérer (j'en connais quelques-uns comme ça qui sont capables de raconter leurs soucis à un ami proche pendant des heures mais qui n'entreprennent rien concrètement pour changer les choses... tellement ils se sentent dépassés par les évènements du quotidien...). Ou celui dont la vie de couple bat de l'aile depuis des années sans jamais avoir essayé de changer les choses et qui préfère s'amuser sur internet et céder à la facilité (c'est plus facile de s'isoler derrière son écran que de faire l'effort d'écouter son épouse)... Ou les célibataires en quête d'âmes soeurs idéalisées, attendant désespérément chaque matin un message dans leur boite (isolement affectif qui touche malheureusement de plus en plus de personnes). Ou le bobo qui a jeté ses idéaux à la poubelle depuis belle lurette, pour se conformer aux obligations du métro-boulot-dodo (comme ceux qu'il critiquait quand il avait vingt ans), et qui aujourd'hui, à quarante ans, écrit un "no future" pubère sur son blog aulieu de se bouger les fesses et d'aller participer à une manifestation dans la rue, quand bien même il est ulcéré chaque matin par les informations qu'il lit dans les journaux...
Lis, Internet est un formidable outil d'information (et je suis le premier à m'en réjouir quand je dois chercher rapidement une info qui me manque sur un dossier pour un de mes clients ou quand je pose, par exemple, une question sur un forum d'experts à des confrères dans ma profession). Mais c'est l'utilisation d'Internet qui est problématique et même dangereuse : isolement social et affectif, culture du narcissisme (comme ci-dessus), etc.
Pour revenir au texte ci-dessus, aligner des phrases dans le désordre n'est pas réfléchir. Déverser une prose indigeste sur Internet c'est faire perdre son temps à ceux & celles qui le lisent.
Contrairement aux apparences, s'obliger à se concentrer sur l'essentiel de son message (et ne pas simplement céder à la facilité de remplir des lignes sans avoir réfléchi à comment on veut faire passer son message) est une aide pour démarrer quand on prend sa plume. Faire un premier jet, relire, laisser reposer, relire à nouveau, etc...
Exactement ce que cette personne n'a pas fait.
Comme déjà dit, l'intention est bonne, et il y a de la matière.
Mais le résultat est médiocre et manque de "saveur". On imagine où elle veut aller. Mais pour y arriver, au secours... quel calvaire... c'est poussif, il y a des répétitions, ça part dans tous les sens...
Dommage.
Et puis, surtout, ce qui est le plus triste c'est ça :
SlowLife a écrit:DeProfundisMorpionibus citant une certaine Agnès a écrit:Il n'a jamais été aussi urgent de goûter à la douceur de vivre, jamais aussi important d'en finir avec les conventions rigides, les faux-semblants, les faux-culs, les excuses de merde, les fâcheux, toute cette accumulation de petits renoncements et grands ratages
Dommage d'attendre que le monde change, avant de changer soi-même et de suivre ce genre de recommandations
SlowLife- Saint Esprit
- Messages : 95
Date d'inscription : 29/01/2009
Localisation : Au paradis des bonsai
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
SlowLife a écrit:...Guy Corneau ...
Mouarf...
Guy Corniaud ouais...
Misère...
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
SlowLife a écrit:...aligner des phrases dans le désordre n'est pas réfléchir. Déverser une prose indigeste sur Internet c'est faire perdre son temps à ceux & celles qui le lisent...
Du Brett tout craché...
Faites ce que je dis, pas ce que je fais...
Misère...
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
Eh oui, on n'est pas tous aussi parfait que toi Pict ! Perfection telle que sans lire un bouquin t'es capable d'en juger. La vache t'es trop balaise toi. 'tain j'aimerai bien être capable de telles prouesses moi aussi... Au fait, dès 8h00 du matin, à peine revenu de congés, et déjà sur le forum ? Rho lala, le pauv' garçon, il a pas eu sa dose de foforum pendant les vavacances pour compenser l'ennui ?...
Si j'étais plus empathique, je te plaindrais presque... Si si, j'tassure... Misère...
Si j'étais plus empathique, je te plaindrais presque... Si si, j'tassure... Misère...
SlowLife- Saint Esprit
- Messages : 95
Date d'inscription : 29/01/2009
Localisation : Au paradis des bonsai
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
SlowLife a écrit:... sans lire un bouquin t'es capable d'en juger...
Mouarf, Brett. Toujours la même daube...
Je ne juge pas le livre, je qualifie l'auteur...
Ce n'est pas parce que tu n'as pas écouté la dicographie complète d'Hélène Ségara ou Céline Dion que tu ne peux pas en dire que ce sont deux piètres artistes...
De même, pas besoin d'avoir lu le livre dont question pour dire que Corneau est un auteur populaire de livre de vulgarisation de psychanalyse basée sur seulement 10 années de pratique après un essai de carrière théatrale et une formation en communication. Un pur business man du la psycho de comptoir. Bref, un beau parleur qui donne en pature au peuple des jugements et recettes à l'emporte pièce avec pour conséquences des dégats incroyables dans la population que les véritables professionnels ont bien du mérite à récupérer. En un mot comme en cent, un corniaud...
Misère...
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
Ca y est, ma méthode (te bousculer un petit peu pour que tu donnes ton avis & des infos -et non pas juste que tu émettes des grompf "misère" ou que tu nous fasses des tonnes de copy-paste) semble fonctionner... ;-)
SlowLife- Saint Esprit
- Messages : 95
Date d'inscription : 29/01/2009
Localisation : Au paradis des bonsai
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
SlowLife a écrit:Ca y est, ma méthode (te bousculer un petit peu pour que tu donnes ton avis & des infos -et non pas juste que tu émettes des grompf "misère" ou que tu nous fasses des tonnes de copy-paste) semble fonctionner... ;-)
Belle pirouette...
Pour un vieux crouton...
Misère...
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
Et sinon tes congés ?
au soleil ?
au ski ?
à la mer ?
campagne ?
au soleil ?
au ski ?
à la mer ?
campagne ?
Flying_Muskitos- Boredmestre
- Messages : 622
Date d'inscription : 16/10/2008
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
Ski sur les coteaux de Rémich, le matin...
Le midi, pic-nic dégustations gratuite lors de la visite des caves Massart...
Et l'après-midi promenade en bateau mouche sur la Moselle puis crème glacée en cornet deux boules et bronzette en terrasse du Mac Do...
Le pied...
Misère...
Le midi, pic-nic dégustations gratuite lors de la visite des caves Massart...
Et l'après-midi promenade en bateau mouche sur la Moselle puis crème glacée en cornet deux boules et bronzette en terrasse du Mac Do...
Le pied...
Misère...
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
Et toi ?
T'as fait reluire bobonne et la mopette...
En vue du 17éme marché de la mob d'occase de Dudelange le 3 mai ?
Misère...
T'as fait reluire bobonne et la mopette...
En vue du 17éme marché de la mob d'occase de Dudelange le 3 mai ?
Misère...
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
pfff arret
moi c moins drole, j'étais ici ... au taf ....
alors forcément, je t'envie un peu j'dois l'avouer ...
Pour bobone, tsé bien que j'suis pas radin sur l'huile de coude
donc la question ne se pose pas
maintenant pour la mopette, c autre chose
y'a eu bcp de pluie semaine dernière
ca motive pas ... donc nan
j'vais la garder encore un peu, et ne l'afficherait pas à la foire à la mopette ...
P'être l'année prochaine ... j'compte sur toi pour m'rappeller la date hein !
moi c moins drole, j'étais ici ... au taf ....
alors forcément, je t'envie un peu j'dois l'avouer ...
Pour bobone, tsé bien que j'suis pas radin sur l'huile de coude
donc la question ne se pose pas
maintenant pour la mopette, c autre chose
y'a eu bcp de pluie semaine dernière
ca motive pas ... donc nan
j'vais la garder encore un peu, et ne l'afficherait pas à la foire à la mopette ...
P'être l'année prochaine ... j'compte sur toi pour m'rappeller la date hein !
Flying_Muskitos- Boredmestre
- Messages : 622
Date d'inscription : 16/10/2008
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
SlowLife a écrit:Lis, s'il s'agit simplement d'occuper son temps (parce que la vie en-dehors d'Internet est peut-être vide de sens ou d'occupations?) ou -pire encore- d'écrire dans le but de se gargariser de dizaines de "c'est vachement bien ce que tu écris" (culture du narcissisme), non merci. Nicht mein Bier (pas/rien pour moi), car je m'en balance comme de l'an 40 de ce que pensent les autres - à fortiori de ce que peuvent penser des inconnu(e)s sur internet... pfff...).
N'y a-t-il pas suffisamment de personnes qui passent leur vie et perdent l'essentiel de leur temps sur Internet ?
Nous en avons tous dans notre entourage. Et personne n'est à l'abri que ça ne lui arrive pas un jour :
Le mari qui en a marre d'entendre les cris ou pleures de ses enfants et qui, peu à peu, s'isole tous les soirs dernière son écran d'ordinateur, laissant son épouse tout gérer (j'en connais quelques-uns comme ça qui sont capables de raconter leurs soucis à un ami proche pendant des heures mais qui n'entreprennent rien concrètement pour changer les choses... tellement ils se sentent dépassés par les évènements du quotidien...). Ou celui dont la vie de couple bat de l'aile depuis des années sans jamais avoir essayé de changer les choses et qui préfère s'amuser sur internet et céder à la facilité (c'est plus facile de s'isoler derrière son écran que de faire l'effort d'écouter son épouse)... Ou les célibataires en quête d'âmes soeurs idéalisées, attendant désespérément chaque matin un message dans leur boite (isolement affectif qui touche malheureusement de plus en plus de personnes). Ou le bobo qui a jeté ses idéaux à la poubelle depuis belle lurette, pour se conformer aux obligations du métro-boulot-dodo (comme ceux qu'il critiquait quand il avait vingt ans), et qui aujourd'hui, à quarante ans, écrit un "no future" pubère sur son blog aulieu de se bouger les fesses et d'aller participer à une manifestation dans la rue, quand bien même il est ulcéré chaque matin par les informations qu'il lit dans les journaux...
Lis, Internet est un formidable outil d'information (et je suis le premier à m'en réjouir quand je dois chercher rapidement une info qui me manque sur un dossier pour un de mes clients ou quand je pose, par exemple, une question sur un forum d'experts à des confrères dans ma profession). Mais c'est l'utilisation d'Internet qui est problématique et même dangereuse : isolement social et affectif, culture du narcissisme (comme ci-dessus), etc.
Pour revenir au texte ci-dessus, aligner des phrases dans le désordre n'est pas réfléchir. Déverser une prose indigeste sur Internet c'est faire perdre son temps à ceux & celles qui le lisent.
Contrairement aux apparences, s'obliger à se concentrer sur l'essentiel de son message (et ne pas simplement céder à la facilité de remplir des lignes sans avoir réfléchi à comment on veut faire passer son message) est une aide pour démarrer quand on prend sa plume. Faire un premier jet, relire, laisser reposer, relire à nouveau, etc...
Exactement ce que cette personne n'a pas fait.
Comme déjà dit, l'intention est bonne, et il y a de la matière.
Mais le résultat est médiocre et manque de "saveur". On imagine où elle veut aller. Mais pour y arriver, au secours... quel calvaire... c'est poussif, il y a des répétitions, ça part dans tous les sens...
Dommage.
Et puis, surtout, ce qui est le plus triste c'est ça :SlowLife a écrit:DeProfundisMorpionibus citant une certaine Agnès a écrit:Il n'a jamais été aussi urgent de goûter à la douceur de vivre, jamais aussi important d'en finir avec les conventions rigides, les faux-semblants, les faux-culs, les excuses de merde, les fâcheux, toute cette accumulation de petits renoncements et grands ratages
Dommage d'attendre que le monde change, avant de changer soi-même et de suivre ce genre de recommandations
Ne serais-tu pas un peu hors sujet, toi qui aimes bien la réflexion et l'alignement d'idées "structurés"? Qu'est-ce qui te permet de faire cette analyse concernant la l'occupation du temps de cette fameuse Agnès ou des gargarismes qu'elle se fait. Je te disais juste qu'elle avait bien le droit d'écrire ce qu'elle veut sur son blog et qu'il serait bien d'avoir l'honneur de lire TES réflexions plutôt que tes critiques.
Je ne vois pas le rapport avec ton laïus sur internet, ses internautes frustrés, ou la génialité de l'outil...
Lis'- Boredmestre
- Messages : 527
Date d'inscription : 03/07/2008
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
Au secours, les drogués d'Internet (qui passent leur vie derrière un écran) sont de retour.
SlowLife- Saint Esprit
- Messages : 95
Date d'inscription : 29/01/2009
Localisation : Au paradis des bonsai
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
DeProfundisMorpionibus a écrit:Et toi ?
T'as fait reluire bobonne et la mopette...
En vue du 17éme marché de la mob d'occase de Dudelange le 3 mai ?
Misère...
Peux en tirer combien de ma mob ?
Faut que ca parte... besoin de money... c'est la crise
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
LA VACHE .......
Jante à baton et tout ! ....
si ca c pas la classe !
T'as vu DPM ...
elle t'irais bien celle la, pour partir en solo, loin d'bobone les we ensoleillés ! .....
Ciel, vraiment bravo !
belle réalisation !
Jante à baton et tout ! ....
si ca c pas la classe !
T'as vu DPM ...
elle t'irais bien celle la, pour partir en solo, loin d'bobone les we ensoleillés ! .....
Ciel, vraiment bravo !
belle réalisation !
Flying_Muskitos- Boredmestre
- Messages : 622
Date d'inscription : 16/10/2008
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
SlowLife a écrit:Au secours, les drogués d'Internet (qui passent leur vie derrière un écran) sont de retour.
Beuh ????
De qui tu parles ?????
Ceux qui passaient leur vie ici sont,...."en vacances" ??? (c'est comme ça qu'il faut dire hein, Bored ?)
Mind Matter- Grand Echevin
- Messages : 2047
Date d'inscription : 21/07/2008
Localisation : Groland
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
Flying_Muskitos a écrit:...pour partir en solo, loin d'bobone...
Foiré...
T'sé bien que moi c'est...
"Jamais sans Bobonne"...
25 ans qu'on va tous les dimanche manger la tarte à la maison du peuple de Trois-Ponts...
Plein pot sul vespa...
Spa demain qu'on va changer une formule qui gagne...
Misère...
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Allez! Bonne fête les cloches...
Arf
xcuse j'pensais pas que le lien était si fort ! ...
bien le mopette side ...
bobone elle s'penche grave ... maitrise bien l'engin j'vois !
xcuse j'pensais pas que le lien était si fort ! ...
bien le mopette side ...
bobone elle s'penche grave ... maitrise bien l'engin j'vois !
Flying_Muskitos- Boredmestre
- Messages : 622
Date d'inscription : 16/10/2008
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Sujets similaires
» Z'allez où en vacances...
» Musique pour les pisseuses ...
» Laid (Ne pas lire ceci, la longueur du titre de ce sujet doit être comprise entre 10 et 255 caractères)
» Bonne nouvelle...
» Bonne Nouvelle...
» Musique pour les pisseuses ...
» Laid (Ne pas lire ceci, la longueur du titre de ce sujet doit être comprise entre 10 et 255 caractères)
» Bonne nouvelle...
» Bonne Nouvelle...
Page 1 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum