Ca remue les tripes...
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Ca remue les tripes...
Vous trouverez tout ce que vous avez toujours pensé sans jamais avoir osé vous le demander ici...
http://www.bloom0101.org/page1.html
Misère...
___________________________________________________
APPEL
Proposition I
Rien ne manque au triomphe de la civilisation. Ni la terreur politiqué ni la misère affective. Ni la stérilité universelle. Le désert ne peut plus croître : il est partout. Mais il peut encore s’approfondir. Devant l’évidence de la catastrophe, il y a ceux qui s’indignent et ceux qui prennent acte, ceux qui dénoncent et ceux qui s’organisent. Nous sommes du côté de ceux qui s’organisent.
Scolie
CECI EST UN APPEL. C’est-à-dire qu’il s’adresse à ceux qui l’entendent. Nous ne prendrons pas la peine de démontrer, d’argumenter, de convaincre. Nous irons à l’évidence.
L’évidence n’est pas d’abord affaire de logique, de raisonnement.
Elle est du côté du sensible, du côté des mondes. Chaque monde a ses évidences. L’évidence est ce qui se partage ou partage.
Après quoi toute communication redevient possible, qui n’est plus postulée, qui est à bâtir.
Et cela, ce réseau d’évidences qui nous constituent, ON nous a si bien appris à en douter, à le fuir, à le taire, à le garder pour nous. ON nous l’a si bien appris que tous les mots nous manquent quand nous voulons crier.
Quant à l’ordre sous lequel nous vivons, chacun sait à quoi s’en tenir : l’empire crève les yeux.
Qu’un régime social à l’agonie n’ait plus d’autre justification à son arbitraire que son absurde détermination - sa détermination sénile - à simplement durer ;
Que la police, mondiale ou nationale, ait reçu toute latitude de régler leur compte à ceux qui ne filent pas droit ; Que la civilisation, blessée en son cœur, ne rencontre plus nulle part, dans la guerre permanente où elle s’est lancée, que ses propres limites ;
Que cette fuite en avant, déjà centenaire presque, ne produise plus qu’une série sans cesse plus rapprochée de désastres ;
Que la masse des humains s’accommode à coups de mensonges, de cynisme, d’abrutissement ou de cachetons à cet ordre des choses,
Nul ne peut prétendre l’ignorer.
Et le sport qui consiste à décrire sans fin, avec une complaisance variable, le désastre présent, n’est qu’une autre façon de dire : « C’est ainsi » ; la palme de l’infamie revenant aux journalistes, à tous ceux qui font mine de redécouvrir chaque matin les saloperies qu’ils avaient constatées la veille.
Mais ce qui frappe, pour l’heure, ce ne sont pas les arrogances de l’empire, c’est plutôt la faiblesse de la contre-attaque. Comme une colossale paralysie. Une paralysie de masse, qui dit tantôt qu’il n’y a rien à faire, quand elle parle encore, tantôt qui concède, poussée à bout, qu’ « il y a tant à faire » - ce qui n’est pas différent. Puis, en marge de cette paralysie, le « il faut bien faire quelque chose, n’importe quoi » des activistes.
Seattle, Prague, Gênes, la lutte contre les OGM ou le mouvement des chômeurs, nous avons pris notre part, nous avons pris notre parti dans les luttes des dernières années ;
et certes pas du côté d’Attac ou des Tute Bianche.
Le folklore protestataire a cessé de nous distraire.
Dans la dernière décennie, nous avons vu le marxisme-léninisme reprendre son monologue ennuyeux dans des bouches encore lycéennes.
Nous avons vu l’anarchisme le plus pur nier aussi ce qu’il ne comprend pas.
Nous avons vu l’économisme le plus plat - celui des amis du Monde diplomatique - devenir la nouvelle religion populaire. Et le négrisme s’imposer comme unique alternative à la déroute intellectuelle de la gauche mondiale.
Partout, le militantisme s’est remis à édifier ses constructions branlantes,
ses réseaux dépressifs,
jusqu’à l’épuisement.
Il n’a pas fallu trois ans aux flics, syndicats et autres bureaucraties informelles pour avoir raison du bref « mouvement anti-mondialisation ». Pour le quadriller. Le diviser en « terrains de lutte », aussi rentables que stériles.
A l’heure qu’il est, de Davos à Porto Alegre, du Medef à la CNT, le capitalisme et l’anti-capitalisme décrivent le même horizon absent. La même perspective tronquée de gérer le désastre.
Ce qui s’oppose à la désolation dominante n’est en définitive qu’une autre désolation, moins bien achalandée. Partout c’est la même bête idée du bonheur. Les mêmes jeux de pouvoir tétanisés. La même désarmante superficialité. Le même analphabétisme émotionnel. Le même désert.
Nous disons que cette époque est un désert, et que ce désert s’approfondit sans cesse. Cela, par exemple, n’est pas de la poésie, c’est une évidence. Une évidence qui en contient beaucoup d’autres. Notamment la rupture avec tout ce qui proteste, tout ce qui dénonce et glose sur le désastre.
Qui dénonce s’exempte.
Tout se passe comme si les gauchistes accumulaient les raisons de se révolter de la même façon que le manager accumule les moyens de dominer. De la même façon c’est-à-dire avec la même jouissance.
Le désert est le progressif dépeuplement du monde. L’habitude que nous avons prise de vivre comme si nous n’étions pas au monde. Le désert est dans la prolétarisation continue, massive, programmée des populations - comme il est dans la banlieue californienne, là où la détresse consiste justement dans le fait que nul ne semble plus l’éprouver.
Que le désert de l’époque ne soit pas perçu, cela vérifie encore le désert.
Certains ont essayé de nommer le désert. De désigner ce qu’il y a à combattre non comme l’action d’un agent étranger mais comme un ensemble de rapports. Ils ont parlé de spectacle, de biopouvoir, d’empire. Mais cela aussi s’est ajouté à la confusion en vigueur.
Le spectacle n’est pas une abréviation commode de système mass-médiatique. Il réside aussi bien dans la cruauté avec laquelle tout nous renvoie sans cesse à notre image.
Le biopouvoir n’est pas un synonyme de Sécu, d’Etat providence ou d’industrie pharmaceutique, mais se loge plaisamment dans le souci que nous prenons de notre joli corps, dans une certaine étrangeté physique à soi comme aux autres.
L’empire n’est pas une sorte d’entité supra-terrestre, une conspiration planétaire de gouvernements, de réseaux financiers, de technocrates et de multinationales. L’empire est partout où rien ne se passe. Partout où ça fonctionne. Là où règne la situation normale.
C’est à force de voir l’ennemi comme un sujet qui nous fait face - au lieu de l’éprouver comme un rapport qui nous tient - que l’on s’enferme dans la lutte contre I’enfermement. Que l’on reproduit sous prétexte d’« alternative » le pire des rapports dominants. Que l’on se met à vendre la lutte contre la marchandise. Que naissent les autorités de la lutte anti-autoritaire, le féminisme à grosses couilles et les ratonnades antifascistes.
Nous sommes, à tout moment, partie prenante d’une situation. En son sein, il n’y a pas des sujets et des objets, moi et les autres, mes aspirations et la réalité, mais l’ensemble des relations, l’ensemble des flux qui la traversent.
Il y a un contexte général - le capitalisme, la civilisation, l’empire, comme on voudra -, un contexte général qui non seulement entend contrôler chaque situation mais, pire encore, cherche à faire qu’il n’y ait le plus souvent pas de situation. ON a aménagé les rues et les logements, le langage et les affects, et puis le tempo mondial qui entraîne tout cela, à ce seul effet. Partout ON fait en sorte que les mondes glissent les uns sur les autres ou s’ignorent. La « situation normale » est cette absence de situation.
S’organiser veut dire : partir de la situation, et non la récuser. Prendre parti en son sein. Y tisser les solidarités nécessaires, matérielles, affectives, politiques. C’est ce que fait n’importe quelle grève dans n’importe quel bureau, dans n’importe quelle usine. C’est ce que fait n’importe quelle bande. N’importe quel maquis. N’importe quel parti révolutionnaire ou contre-révolutionnaire.
S’organiser veut dire : faire consister la situation. La rendre réelle, tangible.
La réalité n’est pas capitaliste.
La position prise au sein d’une situation détermine le besoin de s’allier et pour cela d’établir certaines lignes de communication, des circulations plus larges. À leur tour, ces nouvelles liaisons reconfigurent la situation.
La situation qui nous est faite, nous l’appellerons « guerre civile mondiale ». Où rien n’est plus en mesure de borner l’affrontement des forces en présence. Pas même le droit, qui entre plutôt en jeu comme une autre forme de l’affrontement généralisé.
Le NOUS qui s’exprime ici n’est pas un NOUS délimitable, isolé, le NOUS d’un groupe. C’est le NOUS d’une position. Cette position s’affirme dans l’époque comme une double sécession : sécession avec le processus de valorisation capitaliste d’une part, sécession, ensuite, avec tout ce qu’une simple opposition à l’empire, fût-elle extraparlementaire, impose de stérilité ; sécession, donc, avec la gauche. Où « sécession » indique moins le refus pratique de communiquer qu’une disposition à des formes de communication si intenses qu’elles arrachent à l’ennemi, là où elles s’établissent, la plus grande partie de ses forces.
Pour faire bref, nous dirons qu’une telle position emprunte aux Black Panthers pour la force d’irruption, à l’autonomie allemande pour les cantines collectives, aux néo-luddites anglais pour les maisons dans les arbres et l’art du sabotage, aux féministes radicales pour le choix des mots, aux autonomes italiens pour les autoréductions de masse et au mouvement du 2 Juin pour la joie armée.
Il n’y a plus d’amitié, pour nous, que politique.
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Misère...
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APPEL
Proposition I
Rien ne manque au triomphe de la civilisation. Ni la terreur politiqué ni la misère affective. Ni la stérilité universelle. Le désert ne peut plus croître : il est partout. Mais il peut encore s’approfondir. Devant l’évidence de la catastrophe, il y a ceux qui s’indignent et ceux qui prennent acte, ceux qui dénoncent et ceux qui s’organisent. Nous sommes du côté de ceux qui s’organisent.
Scolie
CECI EST UN APPEL. C’est-à-dire qu’il s’adresse à ceux qui l’entendent. Nous ne prendrons pas la peine de démontrer, d’argumenter, de convaincre. Nous irons à l’évidence.
L’évidence n’est pas d’abord affaire de logique, de raisonnement.
Elle est du côté du sensible, du côté des mondes. Chaque monde a ses évidences. L’évidence est ce qui se partage ou partage.
Après quoi toute communication redevient possible, qui n’est plus postulée, qui est à bâtir.
Et cela, ce réseau d’évidences qui nous constituent, ON nous a si bien appris à en douter, à le fuir, à le taire, à le garder pour nous. ON nous l’a si bien appris que tous les mots nous manquent quand nous voulons crier.
Quant à l’ordre sous lequel nous vivons, chacun sait à quoi s’en tenir : l’empire crève les yeux.
Qu’un régime social à l’agonie n’ait plus d’autre justification à son arbitraire que son absurde détermination - sa détermination sénile - à simplement durer ;
Que la police, mondiale ou nationale, ait reçu toute latitude de régler leur compte à ceux qui ne filent pas droit ; Que la civilisation, blessée en son cœur, ne rencontre plus nulle part, dans la guerre permanente où elle s’est lancée, que ses propres limites ;
Que cette fuite en avant, déjà centenaire presque, ne produise plus qu’une série sans cesse plus rapprochée de désastres ;
Que la masse des humains s’accommode à coups de mensonges, de cynisme, d’abrutissement ou de cachetons à cet ordre des choses,
Nul ne peut prétendre l’ignorer.
Et le sport qui consiste à décrire sans fin, avec une complaisance variable, le désastre présent, n’est qu’une autre façon de dire : « C’est ainsi » ; la palme de l’infamie revenant aux journalistes, à tous ceux qui font mine de redécouvrir chaque matin les saloperies qu’ils avaient constatées la veille.
Mais ce qui frappe, pour l’heure, ce ne sont pas les arrogances de l’empire, c’est plutôt la faiblesse de la contre-attaque. Comme une colossale paralysie. Une paralysie de masse, qui dit tantôt qu’il n’y a rien à faire, quand elle parle encore, tantôt qui concède, poussée à bout, qu’ « il y a tant à faire » - ce qui n’est pas différent. Puis, en marge de cette paralysie, le « il faut bien faire quelque chose, n’importe quoi » des activistes.
Seattle, Prague, Gênes, la lutte contre les OGM ou le mouvement des chômeurs, nous avons pris notre part, nous avons pris notre parti dans les luttes des dernières années ;
et certes pas du côté d’Attac ou des Tute Bianche.
Le folklore protestataire a cessé de nous distraire.
Dans la dernière décennie, nous avons vu le marxisme-léninisme reprendre son monologue ennuyeux dans des bouches encore lycéennes.
Nous avons vu l’anarchisme le plus pur nier aussi ce qu’il ne comprend pas.
Nous avons vu l’économisme le plus plat - celui des amis du Monde diplomatique - devenir la nouvelle religion populaire. Et le négrisme s’imposer comme unique alternative à la déroute intellectuelle de la gauche mondiale.
Partout, le militantisme s’est remis à édifier ses constructions branlantes,
ses réseaux dépressifs,
jusqu’à l’épuisement.
Il n’a pas fallu trois ans aux flics, syndicats et autres bureaucraties informelles pour avoir raison du bref « mouvement anti-mondialisation ». Pour le quadriller. Le diviser en « terrains de lutte », aussi rentables que stériles.
A l’heure qu’il est, de Davos à Porto Alegre, du Medef à la CNT, le capitalisme et l’anti-capitalisme décrivent le même horizon absent. La même perspective tronquée de gérer le désastre.
Ce qui s’oppose à la désolation dominante n’est en définitive qu’une autre désolation, moins bien achalandée. Partout c’est la même bête idée du bonheur. Les mêmes jeux de pouvoir tétanisés. La même désarmante superficialité. Le même analphabétisme émotionnel. Le même désert.
Nous disons que cette époque est un désert, et que ce désert s’approfondit sans cesse. Cela, par exemple, n’est pas de la poésie, c’est une évidence. Une évidence qui en contient beaucoup d’autres. Notamment la rupture avec tout ce qui proteste, tout ce qui dénonce et glose sur le désastre.
Qui dénonce s’exempte.
Tout se passe comme si les gauchistes accumulaient les raisons de se révolter de la même façon que le manager accumule les moyens de dominer. De la même façon c’est-à-dire avec la même jouissance.
Le désert est le progressif dépeuplement du monde. L’habitude que nous avons prise de vivre comme si nous n’étions pas au monde. Le désert est dans la prolétarisation continue, massive, programmée des populations - comme il est dans la banlieue californienne, là où la détresse consiste justement dans le fait que nul ne semble plus l’éprouver.
Que le désert de l’époque ne soit pas perçu, cela vérifie encore le désert.
Certains ont essayé de nommer le désert. De désigner ce qu’il y a à combattre non comme l’action d’un agent étranger mais comme un ensemble de rapports. Ils ont parlé de spectacle, de biopouvoir, d’empire. Mais cela aussi s’est ajouté à la confusion en vigueur.
Le spectacle n’est pas une abréviation commode de système mass-médiatique. Il réside aussi bien dans la cruauté avec laquelle tout nous renvoie sans cesse à notre image.
Le biopouvoir n’est pas un synonyme de Sécu, d’Etat providence ou d’industrie pharmaceutique, mais se loge plaisamment dans le souci que nous prenons de notre joli corps, dans une certaine étrangeté physique à soi comme aux autres.
L’empire n’est pas une sorte d’entité supra-terrestre, une conspiration planétaire de gouvernements, de réseaux financiers, de technocrates et de multinationales. L’empire est partout où rien ne se passe. Partout où ça fonctionne. Là où règne la situation normale.
C’est à force de voir l’ennemi comme un sujet qui nous fait face - au lieu de l’éprouver comme un rapport qui nous tient - que l’on s’enferme dans la lutte contre I’enfermement. Que l’on reproduit sous prétexte d’« alternative » le pire des rapports dominants. Que l’on se met à vendre la lutte contre la marchandise. Que naissent les autorités de la lutte anti-autoritaire, le féminisme à grosses couilles et les ratonnades antifascistes.
Nous sommes, à tout moment, partie prenante d’une situation. En son sein, il n’y a pas des sujets et des objets, moi et les autres, mes aspirations et la réalité, mais l’ensemble des relations, l’ensemble des flux qui la traversent.
Il y a un contexte général - le capitalisme, la civilisation, l’empire, comme on voudra -, un contexte général qui non seulement entend contrôler chaque situation mais, pire encore, cherche à faire qu’il n’y ait le plus souvent pas de situation. ON a aménagé les rues et les logements, le langage et les affects, et puis le tempo mondial qui entraîne tout cela, à ce seul effet. Partout ON fait en sorte que les mondes glissent les uns sur les autres ou s’ignorent. La « situation normale » est cette absence de situation.
S’organiser veut dire : partir de la situation, et non la récuser. Prendre parti en son sein. Y tisser les solidarités nécessaires, matérielles, affectives, politiques. C’est ce que fait n’importe quelle grève dans n’importe quel bureau, dans n’importe quelle usine. C’est ce que fait n’importe quelle bande. N’importe quel maquis. N’importe quel parti révolutionnaire ou contre-révolutionnaire.
S’organiser veut dire : faire consister la situation. La rendre réelle, tangible.
La réalité n’est pas capitaliste.
La position prise au sein d’une situation détermine le besoin de s’allier et pour cela d’établir certaines lignes de communication, des circulations plus larges. À leur tour, ces nouvelles liaisons reconfigurent la situation.
La situation qui nous est faite, nous l’appellerons « guerre civile mondiale ». Où rien n’est plus en mesure de borner l’affrontement des forces en présence. Pas même le droit, qui entre plutôt en jeu comme une autre forme de l’affrontement généralisé.
Le NOUS qui s’exprime ici n’est pas un NOUS délimitable, isolé, le NOUS d’un groupe. C’est le NOUS d’une position. Cette position s’affirme dans l’époque comme une double sécession : sécession avec le processus de valorisation capitaliste d’une part, sécession, ensuite, avec tout ce qu’une simple opposition à l’empire, fût-elle extraparlementaire, impose de stérilité ; sécession, donc, avec la gauche. Où « sécession » indique moins le refus pratique de communiquer qu’une disposition à des formes de communication si intenses qu’elles arrachent à l’ennemi, là où elles s’établissent, la plus grande partie de ses forces.
Pour faire bref, nous dirons qu’une telle position emprunte aux Black Panthers pour la force d’irruption, à l’autonomie allemande pour les cantines collectives, aux néo-luddites anglais pour les maisons dans les arbres et l’art du sabotage, aux féministes radicales pour le choix des mots, aux autonomes italiens pour les autoréductions de masse et au mouvement du 2 Juin pour la joie armée.
Il n’y a plus d’amitié, pour nous, que politique.
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Ca remue les tripes...
C'est moi ou,.....
Ca ne veut absolument rien dire ????
Désolée Morpion mais je trouve que celui qui a écrit ça n'a rien à dire,.....ni à proposer,....
Il ne fait qu'aligner des poncifs avec une prose plus ou moins correcte,....
Mais je ne vois que la vacuité de son texte,....
Ca ne veut absolument rien dire ????
Désolée Morpion mais je trouve que celui qui a écrit ça n'a rien à dire,.....ni à proposer,....
Il ne fait qu'aligner des poncifs avec une prose plus ou moins correcte,....
Mais je ne vois que la vacuité de son texte,....
Mind Matter- Grand Echevin
- Messages : 2047
Date d'inscription : 21/07/2008
Localisation : Groland
Re: Ca remue les tripes...
Ce ne sont pas des poncifs...
Mais bien des évidences...
Là où mon avis diverge se situe dans cette négation de la dénonciation...
"... Et le sport qui consiste à décrire sans fin, avec une complaisance variable, le désastre présent, n’est qu’une autre façon de dire : « C’est ainsi »..."
"... la rupture avec tout ce qui proteste, tout ce qui dénonce et glose sur le désastre... [est une évidence (PM)]"
"...Qui dénonce s’exempte..."
Je comprends leur désir d'action et sans doute leur frustration d'incompréhension et leur sentiment de vacuité de la dénonciation...
Sauf que la dénonciation est à la base de l'information...
Et que la résistance, pour pouvoir vaincre le système doit avoir le soutient du peuple...
Pas de soutient sans information...
Il y a plein d'autres textes instructifs à lire sur ce site...
Misère...
Mais bien des évidences...
Là où mon avis diverge se situe dans cette négation de la dénonciation...
"... Et le sport qui consiste à décrire sans fin, avec une complaisance variable, le désastre présent, n’est qu’une autre façon de dire : « C’est ainsi »..."
"... la rupture avec tout ce qui proteste, tout ce qui dénonce et glose sur le désastre... [est une évidence (PM)]"
"...Qui dénonce s’exempte..."
Je comprends leur désir d'action et sans doute leur frustration d'incompréhension et leur sentiment de vacuité de la dénonciation...
Sauf que la dénonciation est à la base de l'information...
Et que la résistance, pour pouvoir vaincre le système doit avoir le soutient du peuple...
Pas de soutient sans information...
Il y a plein d'autres textes instructifs à lire sur ce site...
Misère...
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Ca remue les tripes...
Je suis larguée dans ce débat,....
Dans le fond je ne suis pas faite pour ça,....
Et si pour toi ce sont des évidences,...
Pour moi ce sont des poncifs,....
Il surfe sur les idées à la mode, ...
Mais il ne propose rien de concret,...
Ca sert à rien de beugler et répéter les même choses à tout va. Les personnes qui sortent de chez eux et prennent la peine de regarder ce qui se passe, lisent autre chose que le télérama et prennent le temps de discuter avec tout le monde sans à priori n'ont plus besoin de lire ça: ils savent.
Les autres ne le liront pas d'abord parce qu'ils s'en fichent pour plein de bonnes raisons (ce n'est pas un jugement de valeur que je porte mais tout le monde n'a pas le même niveau d'aducation, les mêmes moyens intellectuels, les mêmes sensibilités et ont surtout, pour la plupart, assez de soucis que pour se préoccuper de ceux des autres). Et aussi parce que c'est trop long, pas concret et sybillin.
Il faut agir, chacun avec ses petits moyens parce qu'on a tous nos petits soucis,...
Tiens, là par exemple,...
J'ai faim !!!!
Dans le fond je ne suis pas faite pour ça,....
Et si pour toi ce sont des évidences,...
Pour moi ce sont des poncifs,....
Il surfe sur les idées à la mode, ...
Mais il ne propose rien de concret,...
Ca sert à rien de beugler et répéter les même choses à tout va. Les personnes qui sortent de chez eux et prennent la peine de regarder ce qui se passe, lisent autre chose que le télérama et prennent le temps de discuter avec tout le monde sans à priori n'ont plus besoin de lire ça: ils savent.
Les autres ne le liront pas d'abord parce qu'ils s'en fichent pour plein de bonnes raisons (ce n'est pas un jugement de valeur que je porte mais tout le monde n'a pas le même niveau d'aducation, les mêmes moyens intellectuels, les mêmes sensibilités et ont surtout, pour la plupart, assez de soucis que pour se préoccuper de ceux des autres). Et aussi parce que c'est trop long, pas concret et sybillin.
Il faut agir, chacun avec ses petits moyens parce qu'on a tous nos petits soucis,...
Tiens, là par exemple,...
J'ai faim !!!!
Mind Matter- Grand Echevin
- Messages : 2047
Date d'inscription : 21/07/2008
Localisation : Groland
Re: Ca remue les tripes...
Je crois que tu dis presque pareil...
T'as faim ?
Je t'invite...
Si ça c'est pas de l'action...
Misère...
T'as faim ?
Je t'invite...
Si ça c'est pas de l'action...
Misère...
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Ca remue les tripes...
Mince tu as raison,....
Je dis la même chose en beaucoup moins de mots. C'est tellement long et inconsistant que je l'ai lu en diagonale,...
Mince, t'avais pas piscine ????
Je dis la même chose en beaucoup moins de mots. C'est tellement long et inconsistant que je l'ai lu en diagonale,...
Mince, t'avais pas piscine ????
Mind Matter- Grand Echevin
- Messages : 2047
Date d'inscription : 21/07/2008
Localisation : Groland
Re: Ca remue les tripes...
La seule manière de combattre les personnes qui veulent que notre planète
deviennent le terrain de jeu d'un organisme de contrôle mondialisé,
c'est de le combattre par les mots, par les lettres, par l'information.
Tout autre forme de combat se soldera par l'échec,
puisque les bases de ce Nouvel Ordre Mondial qui est en train de se mettre en place,
c'est justement de dire que l'homme est un loup pour l'homme,
et que parcequ'il est agressif, il doit être contrôlé.
La Guerre Civile Mondiale est pour demain,
quand ils auront fini de réduire l'économie mondiale à néan,
et que nos estomacs seront dans le même état que nos forêt et nos terres stériles (Vides).
De cette Guerre Civile Mondiale, ceux qui nous dirigent en ressortirons encore plus forts,
puisque ils auront réussi à prouver par l'exemple que l'homme est vil,
et qu'il doit être contrôlé pour ne pas se conduire tout seul à sa perte.
Alors tout le monde acceptera sans discuter la puce electronique dans le bras,
puisque elle seule nous apportera la sécurité d'un état mondialisé sécurisé.
Nous ne pouvons les combattre que par les mots.
deviennent le terrain de jeu d'un organisme de contrôle mondialisé,
c'est de le combattre par les mots, par les lettres, par l'information.
Tout autre forme de combat se soldera par l'échec,
puisque les bases de ce Nouvel Ordre Mondial qui est en train de se mettre en place,
c'est justement de dire que l'homme est un loup pour l'homme,
et que parcequ'il est agressif, il doit être contrôlé.
La Guerre Civile Mondiale est pour demain,
quand ils auront fini de réduire l'économie mondiale à néan,
et que nos estomacs seront dans le même état que nos forêt et nos terres stériles (Vides).
De cette Guerre Civile Mondiale, ceux qui nous dirigent en ressortirons encore plus forts,
puisque ils auront réussi à prouver par l'exemple que l'homme est vil,
et qu'il doit être contrôlé pour ne pas se conduire tout seul à sa perte.
Alors tout le monde acceptera sans discuter la puce electronique dans le bras,
puisque elle seule nous apportera la sécurité d'un état mondialisé sécurisé.
Nous ne pouvons les combattre que par les mots.
Re: Ca remue les tripes...
Bored,...
Spielberg n'aurait pas dit mieux
Je ne dirige rien ni personne,...
Mais je pourrais dire que l'humanité est mauvaise et que depuis la naissance de l'espèce humaine, l'homme se tape sur la gueule, pour le plus gros steack, la plus belle femme, l'or jaune et noir, les mines, etc
Tout est prétexte et même dans mon travail je le vois tous les jours
C'est le contraire qui est l'exception,....
Spielberg n'aurait pas dit mieux
Je ne dirige rien ni personne,...
Mais je pourrais dire que l'humanité est mauvaise et que depuis la naissance de l'espèce humaine, l'homme se tape sur la gueule, pour le plus gros steack, la plus belle femme, l'or jaune et noir, les mines, etc
Tout est prétexte et même dans mon travail je le vois tous les jours
C'est le contraire qui est l'exception,....
Mind Matter- Grand Echevin
- Messages : 2047
Date d'inscription : 21/07/2008
Localisation : Groland
Compte Fantastique pour Mind Matter .....
----
Pour commencer la lecture de ce compte fantastique, il faut
tout d'abord essayer de visualiser l'univers dans son entierreté,
et se rendre compte que ses dimensions font que notre esprit
ne peut concevoir les limites de cet univers, et que nous ne sommes
qu'un élément minuscule du monde qui nous entoure.
Dans cet univers, nombreux sont les scientifiques qui nous disent
tous les jours que nous ne sommes surement pas seuls.
Statistiquement parlant, celà frôle l'hérésie d'imaginer que nous
pouvons être les seules espèces vivantes de l'univers.
Et parmis toutes ces espèces vivantes, il est à parier que nous ne
sommes pas les plus archaiques, mais aussi que nous ne sommes
surement pas la civilisation la plus avancée de notre univers.
Nous ne sommes pas seuls, et d'autres civilisations nous observent
surement, sans nécessairement intéragir avec nous, ou peut être
justement en interagissant avec nous.
Si une autre civilisation bien plus avancée que la notre à
conscience de notre existence, alors il parait évident qu'elle
est déjà venu nous rendre visite, et qu'elle le fait même peut
être encore régulièrement aujourd'hui.
Voici donc le début de notre histoire ...
---
Il y a bien longtemps, une civilisation extra terrestre,
bien en avance sur notre époque, est arrivée sur notre planète,
afin d'y faire des expériences biologiques qu'ils se refusaient
à faire sur leur propre planéte pour des raisons de sécurité.
Notre planète était occupée par des peuples arriérés, (nous), et
les expériences fûrent menées par plusieurs groupes de chercheurs.
Parmis ces groupes, certains se concentrèrent à créer de nouvelles
espèces de plantes, pouvant supporter de fortes températures dans
des climats comme ceux des tropiques, d'autres étaient plus intéressés
par les espèces animales ou encore faisaient des expériences sur les
minerais disponibles sur la terre ou sur les énergies fossiles.
Mais l'un de ces groupes avait décidé de ne pas suivre les recommendations
de leur gouvernement extra-terrestre, pour décider de leur libre arbitre
de créer des espèces animales incongrues, ou pour prendre du plaisir avec
les membres des peuples haborigènes.
Quand le gouvernement se rendit compte de ces faits, ils décidèrent de quitter
la planète terre, mais d'y abandonner le groupe de chercheurs qui se prétait à
ces vils expériences à leur sort, au beau milieu d'une planète trés en retard
sur leur temps, leur confisquant tout leur matériel.
Le groupe de chercheurs se retrouva perdu au milieu de la galaxie,
et une haine immense vint compenser leur sentiment d'abandon,
envers leur propre peuple ... Une haine qui devint le moteur de
leurs actions sur la planète terre, puisque leur seul salut était
maintenant d'attendre que les peuplades qui leur tenaient companie
évolue et découvrent la technologie, pour un jour imaginer
pouvoir quitter cette planète.
Ce groupe de chercheurs était appellée la "Communeauté du Serpent", certainement
parceque l'A.D.N. en forme de spirale rappelle celle commune du serpent,
et que ce groupe de chercheurs avait pour base principale les découvertes
de leur civilisation sur l'A.D.N. qui est l'élément dont tous les êtres
vivant sont constitués.
Ils décidèrent de diriger les peuplades primitives vers l'évolution,
afin de pouvoir plus tard quitter cette planète qui était désormais
devenue leur prison.
Afin de motiver les peuples à les amener à leurs fins, ils amenèrent
la religion sur la planète terre, car seule une foi aveugle aurai
poussés les peuples à avoir certaines actions, et seule la foi pouvait
amener les peuples à suivre une certaine conduite, à avoir une certaine
morale. Morale nécessaire pour pousser les peuples à travailler dans
le sens que la communeauté du Serpent avait choisie : la voie de la
Technologie. ("On n'arrête pas le progrès").
Les peuples en présence sur la planète à ce moment là étant tous porteurs
de cultures et moeurs différentes, une histoire fût écrite sur mesure pour
chaque culture, afin de les faires tous converger vers une idée commune :
"Dieu vous attend après la mort, et il sera le seul juge de vos actions."
Il ne restai plus, une foi la foi mise en place,
à donner du travail à tous ces peuples qui n'attendaient que ca,
puisqu'il est bien connu que l'oisiveté est un péché.
La communeauté du Serpent a ainsi traversé les siècles en restant
toujours en arrière plan, mais en soufflant toujours aux élus
dirigeants les bonnes décisions à prendre pour faire évoluer le
peuple dans le sens de leurs choix.
Le gouvernement extra-terrestre continua malgré son éloignement de
la planète Terre de garder un oeil sur les activités en cours,
et décida de prévenir, d'une manière subtile, les peuples de la
planète terre, qu'une page importante de l'histoire était en train
de se jouer durant ce cycle qu'était en train de parcourir notre
galaxie.
Ainsi, les livres des religions fûrent modifiés par le gouvernement
extra terrestre, à l'aide de voyages spatio temporels, afin d'y
apporter le message que la Communeauté du Serpent a été amené
sur Terre par le gouvernement lui même (ELOHIM / DIEU),
qu'elle a été bannie par le gouvernement pour avoir eu des
agissements prohibés, qu'elle est l'origine de l'homme sur la
Terre, et que viendra le jour ou les hommes devront juger de
leurs actions devant le "tout puissant". (le gouvernement)
Depuis son abandon sur la Terre, La Communeauté du Serpent
n'avait qu'une seule idée en tête : créer le Nouvel Ordre Mondial.
Et ce pour un seul et même but, asservir la population terrestre
pour réussir à fabriquer le vaisseau spatial qui leur permettrai
de repartir vers l'espace.
Peu importe que les peuples se fassent la guerre, peu importe les
souffrances, les violences, la haine raciale ... Sans la Communeauté
du Serpent, les habitants de la planète Terre n'auraient jamais
évolué et seraient resté à l'état sauvage.
Peu importe même que la Terre soit détruite, si cela est nécessaire
pour extraire les matériaux nécessaires à le fabrication d'un vaisseau
spatial, seul garant d'une survie potentielle pour la Communeauté du
Serpent.
Mais le Gouvernement extra terrestre lui ne voyait pas toutes ces
souffrances physiques et morales du même oeil, et avait bien promis
à la Communeauté du Serpent qu'un jour viendrai ou leurs actions
seraient punies.
Le Nouvel Ordre Mondial est un système de contrôle mondial de la
population, permettant aux dirigeants de connaitre les moindres
faits et gestes de la population, mais surtout leur permettant
de décider qui fait quoi, et d'éliminer sans agressivité tout
élément n'acceptant pas ce système.
La micro puce électtonique est l'un des éléments fédérateurs du
Nouvel Ordre Mondial pour obliger les peuples à fournir le travail
qu'on leur impose, tout en les empéchant de se rebéller contre
le système.
Si l'on accepte pas le système, on se retrouve hors du système,
et donc l'on a plus la possibilité d'échanger du travail contre
de la nourriture, dans un monde dépourvu de sols stériles ou
d'eau potable. Refuser de rentrer dans ce système signifie donc
accepter de mourrir rapidement.
Les différentes guerres qui ont euent lieu sur la planète Terre,
notamment au cours des 20 siècles qui ont suivie la naissance
biblique de Jésus Christ, ont été orchéstrée par la Communeauté
du Serpent, justement pour montrer à l'homme comme il est mauvais.
Prouver et montrer les vices de l'homme sont la seule manière
de lui faire adhérer au Nouvel Ordre Mondial.
Le 11/09/2001 nous a fait accepter la biométrie, et le contrôle
accru, au nom de la liberté et de la sécurité.
Les vaisseaux spatiaux sont dors et déjà une technologie maitrisée
par l'homme, mais nous sont cachés justement pour faire fonctionner
le plus gros cannulard de tous les temps qui va faire son apparition
dans un avenir trés proche.
La communeauté du Serpent va faire croire aux hommes trés prochainement
à une attaque extra terrestre. Un vaisseau de grande envergure, ou de
nombreux petits vaisseaux vont être utilisés pour attaquer tous les
peuples de la Terre, et le choc psychologique et émotionnel sera tel
que tous les peuples accepterons sans discuter de se faire implanter
une puce electronique dans le bras.
La Communeauté du Serpent est prête à tous les sacrifices possibles
pour faire réagir le Gouvernement extra-terrestre.
Il n'y a rien de pire que d'être ignoré.
Et toutes les guerres et tortures qui ont pu avoir lieu jusqu'à présent
sur Terre sont autant de preuves que la Communeauté du Serpent est
prête aux pires attrocités pour que leur Gouvernement extra terrestre
communique à nouveau avec eux.
La Communeauté du Serpent se doute que le Gouvernement les observe,
mais elle ne peut en avoir la certitude, alors elle continue de
torturer autant que possible ces êtres fragiles que sont les hommes
pour provoquer des réactions au sein du Gouvernement, pour qu'on
vienne les rechercher.
Le Gouvernement l'a pourtant bien dit dans les livres de foi, et
notamment dans la bible. Il a prévenu les peuples qu'il arrivera
un jour ou la "bête" imposera a tous les peuples de porter la
marque de la bête, qui sera la seule facon d'échanger des biens
et de la nourriture, et que le jour ou cela arrivera, alors viendra
le jour du jugement dernier, que la bête (La Communeauté du Serpent)
sera jugée et détruite, elle et tous ceux qui l'auront acceptée.
----
Parmis les haborigènes, certains acceptèrent de suivre aveuglément
les théories religieuses telles qu'on leur avaient présentées,
d'autres rejetaient ces théories dans leur ensemble, mais heureusement
pour la Communeauté du Serpent ne représentaient qu'une faible
minorité, la dernière catégorie enfin, avait vu en ces textes des
allégories et des métaphores racontant explicitement l'histoire
de la Communeauté du Serpent, et comprirent bien avant tout le monde
qu'ils n'étaient que le pion d'un système esclavagiste, que l'homme
n'était pas nécessairement ni mauvais ni stupide, mais que la Communeauté
du Serpent avait tout fait pour le faire croire, pour arriver à ses fins.
C'est cette troisième catégorie qui fera que l'histoire prendra
finalement un tournant surprenant .....
----
Pour commencer la lecture de ce compte fantastique, il faut
tout d'abord essayer de visualiser l'univers dans son entierreté,
et se rendre compte que ses dimensions font que notre esprit
ne peut concevoir les limites de cet univers, et que nous ne sommes
qu'un élément minuscule du monde qui nous entoure.
Dans cet univers, nombreux sont les scientifiques qui nous disent
tous les jours que nous ne sommes surement pas seuls.
Statistiquement parlant, celà frôle l'hérésie d'imaginer que nous
pouvons être les seules espèces vivantes de l'univers.
Et parmis toutes ces espèces vivantes, il est à parier que nous ne
sommes pas les plus archaiques, mais aussi que nous ne sommes
surement pas la civilisation la plus avancée de notre univers.
Nous ne sommes pas seuls, et d'autres civilisations nous observent
surement, sans nécessairement intéragir avec nous, ou peut être
justement en interagissant avec nous.
Si une autre civilisation bien plus avancée que la notre à
conscience de notre existence, alors il parait évident qu'elle
est déjà venu nous rendre visite, et qu'elle le fait même peut
être encore régulièrement aujourd'hui.
Voici donc le début de notre histoire ...
---
Il y a bien longtemps, une civilisation extra terrestre,
bien en avance sur notre époque, est arrivée sur notre planète,
afin d'y faire des expériences biologiques qu'ils se refusaient
à faire sur leur propre planéte pour des raisons de sécurité.
Notre planète était occupée par des peuples arriérés, (nous), et
les expériences fûrent menées par plusieurs groupes de chercheurs.
Parmis ces groupes, certains se concentrèrent à créer de nouvelles
espèces de plantes, pouvant supporter de fortes températures dans
des climats comme ceux des tropiques, d'autres étaient plus intéressés
par les espèces animales ou encore faisaient des expériences sur les
minerais disponibles sur la terre ou sur les énergies fossiles.
Mais l'un de ces groupes avait décidé de ne pas suivre les recommendations
de leur gouvernement extra-terrestre, pour décider de leur libre arbitre
de créer des espèces animales incongrues, ou pour prendre du plaisir avec
les membres des peuples haborigènes.
Quand le gouvernement se rendit compte de ces faits, ils décidèrent de quitter
la planète terre, mais d'y abandonner le groupe de chercheurs qui se prétait à
ces vils expériences à leur sort, au beau milieu d'une planète trés en retard
sur leur temps, leur confisquant tout leur matériel.
Le groupe de chercheurs se retrouva perdu au milieu de la galaxie,
et une haine immense vint compenser leur sentiment d'abandon,
envers leur propre peuple ... Une haine qui devint le moteur de
leurs actions sur la planète terre, puisque leur seul salut était
maintenant d'attendre que les peuplades qui leur tenaient companie
évolue et découvrent la technologie, pour un jour imaginer
pouvoir quitter cette planète.
Ce groupe de chercheurs était appellée la "Communeauté du Serpent", certainement
parceque l'A.D.N. en forme de spirale rappelle celle commune du serpent,
et que ce groupe de chercheurs avait pour base principale les découvertes
de leur civilisation sur l'A.D.N. qui est l'élément dont tous les êtres
vivant sont constitués.
Ils décidèrent de diriger les peuplades primitives vers l'évolution,
afin de pouvoir plus tard quitter cette planète qui était désormais
devenue leur prison.
Afin de motiver les peuples à les amener à leurs fins, ils amenèrent
la religion sur la planète terre, car seule une foi aveugle aurai
poussés les peuples à avoir certaines actions, et seule la foi pouvait
amener les peuples à suivre une certaine conduite, à avoir une certaine
morale. Morale nécessaire pour pousser les peuples à travailler dans
le sens que la communeauté du Serpent avait choisie : la voie de la
Technologie. ("On n'arrête pas le progrès").
Les peuples en présence sur la planète à ce moment là étant tous porteurs
de cultures et moeurs différentes, une histoire fût écrite sur mesure pour
chaque culture, afin de les faires tous converger vers une idée commune :
"Dieu vous attend après la mort, et il sera le seul juge de vos actions."
Il ne restai plus, une foi la foi mise en place,
à donner du travail à tous ces peuples qui n'attendaient que ca,
puisqu'il est bien connu que l'oisiveté est un péché.
La communeauté du Serpent a ainsi traversé les siècles en restant
toujours en arrière plan, mais en soufflant toujours aux élus
dirigeants les bonnes décisions à prendre pour faire évoluer le
peuple dans le sens de leurs choix.
Le gouvernement extra-terrestre continua malgré son éloignement de
la planète Terre de garder un oeil sur les activités en cours,
et décida de prévenir, d'une manière subtile, les peuples de la
planète terre, qu'une page importante de l'histoire était en train
de se jouer durant ce cycle qu'était en train de parcourir notre
galaxie.
Ainsi, les livres des religions fûrent modifiés par le gouvernement
extra terrestre, à l'aide de voyages spatio temporels, afin d'y
apporter le message que la Communeauté du Serpent a été amené
sur Terre par le gouvernement lui même (ELOHIM / DIEU),
qu'elle a été bannie par le gouvernement pour avoir eu des
agissements prohibés, qu'elle est l'origine de l'homme sur la
Terre, et que viendra le jour ou les hommes devront juger de
leurs actions devant le "tout puissant". (le gouvernement)
Depuis son abandon sur la Terre, La Communeauté du Serpent
n'avait qu'une seule idée en tête : créer le Nouvel Ordre Mondial.
Et ce pour un seul et même but, asservir la population terrestre
pour réussir à fabriquer le vaisseau spatial qui leur permettrai
de repartir vers l'espace.
Peu importe que les peuples se fassent la guerre, peu importe les
souffrances, les violences, la haine raciale ... Sans la Communeauté
du Serpent, les habitants de la planète Terre n'auraient jamais
évolué et seraient resté à l'état sauvage.
Peu importe même que la Terre soit détruite, si cela est nécessaire
pour extraire les matériaux nécessaires à le fabrication d'un vaisseau
spatial, seul garant d'une survie potentielle pour la Communeauté du
Serpent.
Mais le Gouvernement extra terrestre lui ne voyait pas toutes ces
souffrances physiques et morales du même oeil, et avait bien promis
à la Communeauté du Serpent qu'un jour viendrai ou leurs actions
seraient punies.
Le Nouvel Ordre Mondial est un système de contrôle mondial de la
population, permettant aux dirigeants de connaitre les moindres
faits et gestes de la population, mais surtout leur permettant
de décider qui fait quoi, et d'éliminer sans agressivité tout
élément n'acceptant pas ce système.
La micro puce électtonique est l'un des éléments fédérateurs du
Nouvel Ordre Mondial pour obliger les peuples à fournir le travail
qu'on leur impose, tout en les empéchant de se rebéller contre
le système.
Si l'on accepte pas le système, on se retrouve hors du système,
et donc l'on a plus la possibilité d'échanger du travail contre
de la nourriture, dans un monde dépourvu de sols stériles ou
d'eau potable. Refuser de rentrer dans ce système signifie donc
accepter de mourrir rapidement.
Les différentes guerres qui ont euent lieu sur la planète Terre,
notamment au cours des 20 siècles qui ont suivie la naissance
biblique de Jésus Christ, ont été orchéstrée par la Communeauté
du Serpent, justement pour montrer à l'homme comme il est mauvais.
Prouver et montrer les vices de l'homme sont la seule manière
de lui faire adhérer au Nouvel Ordre Mondial.
Le 11/09/2001 nous a fait accepter la biométrie, et le contrôle
accru, au nom de la liberté et de la sécurité.
Les vaisseaux spatiaux sont dors et déjà une technologie maitrisée
par l'homme, mais nous sont cachés justement pour faire fonctionner
le plus gros cannulard de tous les temps qui va faire son apparition
dans un avenir trés proche.
La communeauté du Serpent va faire croire aux hommes trés prochainement
à une attaque extra terrestre. Un vaisseau de grande envergure, ou de
nombreux petits vaisseaux vont être utilisés pour attaquer tous les
peuples de la Terre, et le choc psychologique et émotionnel sera tel
que tous les peuples accepterons sans discuter de se faire implanter
une puce electronique dans le bras.
La Communeauté du Serpent est prête à tous les sacrifices possibles
pour faire réagir le Gouvernement extra-terrestre.
Il n'y a rien de pire que d'être ignoré.
Et toutes les guerres et tortures qui ont pu avoir lieu jusqu'à présent
sur Terre sont autant de preuves que la Communeauté du Serpent est
prête aux pires attrocités pour que leur Gouvernement extra terrestre
communique à nouveau avec eux.
La Communeauté du Serpent se doute que le Gouvernement les observe,
mais elle ne peut en avoir la certitude, alors elle continue de
torturer autant que possible ces êtres fragiles que sont les hommes
pour provoquer des réactions au sein du Gouvernement, pour qu'on
vienne les rechercher.
Le Gouvernement l'a pourtant bien dit dans les livres de foi, et
notamment dans la bible. Il a prévenu les peuples qu'il arrivera
un jour ou la "bête" imposera a tous les peuples de porter la
marque de la bête, qui sera la seule facon d'échanger des biens
et de la nourriture, et que le jour ou cela arrivera, alors viendra
le jour du jugement dernier, que la bête (La Communeauté du Serpent)
sera jugée et détruite, elle et tous ceux qui l'auront acceptée.
----
Parmis les haborigènes, certains acceptèrent de suivre aveuglément
les théories religieuses telles qu'on leur avaient présentées,
d'autres rejetaient ces théories dans leur ensemble, mais heureusement
pour la Communeauté du Serpent ne représentaient qu'une faible
minorité, la dernière catégorie enfin, avait vu en ces textes des
allégories et des métaphores racontant explicitement l'histoire
de la Communeauté du Serpent, et comprirent bien avant tout le monde
qu'ils n'étaient que le pion d'un système esclavagiste, que l'homme
n'était pas nécessairement ni mauvais ni stupide, mais que la Communeauté
du Serpent avait tout fait pour le faire croire, pour arriver à ses fins.
C'est cette troisième catégorie qui fera que l'histoire prendra
finalement un tournant surprenant .....
----
Dernière édition par luxembored le Ven 24 Avr - 16:30, édité 2 fois
Re: Ca remue les tripes...
Tain...
C'est plus tordu que le cadre de mon Vel'oh après le dernier test, non communiqué, de la descente de la côte d'Eisch sans frein les yeux bandés...
Misère...
C'est plus tordu que le cadre de mon Vel'oh après le dernier test, non communiqué, de la descente de la côte d'Eisch sans frein les yeux bandés...
Misère...
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Ca remue les tripes...
DeProfundisMorpionibus a écrit:Tain...
C'est plus tordu que le cadre de mon Vel'oh après le dernier test, non communiqué, de la descente de la côte d'Eisch sans frein les yeux bandés...
Misère...
Bon alors DeuPeuMeu, le dernier épisode de Veh'lo !!!!
Re: Ca remue les tripes...
Je peux pas...
J'ai les bras plâtrés et une guibole en l'air...
Sans parler de l'oeil au beurre noir...
Misère...
J'ai les bras plâtrés et une guibole en l'air...
Sans parler de l'oeil au beurre noir...
Misère...
DeProfundisMorpionibus- Grand Echevin
- Messages : 2581
Date d'inscription : 14/07/2008
Localisation : Luxemfoired... (C'est juste à côté de Luxembored).
Re: Ca remue les tripes...
DeProfundisMorpionibus a écrit:Je peux pas...
J'ai les bras plâtrés et une guibole en l'air...
Sans parler de l'oeil au beurre noir...
Misère...
Faut dire .... La montée du Gründ en descente .... fallait oser ....
.... Oseras tu un jour, pour tes lecteurs, nous la faire en caddy ?
Re: Ca remue les tripes...
En fait Bored,...
à l'instar du Commandant,...
Je vote "Drôle"
En espérant qu'on ne me "puce" jamais,.....
Mince !!!!
La puce de la carte CORA,...
C'est donc ça ????
à l'instar du Commandant,...
Je vote "Drôle"
En espérant qu'on ne me "puce" jamais,.....
Mince !!!!
La puce de la carte CORA,...
C'est donc ça ????
Mind Matter- Grand Echevin
- Messages : 2047
Date d'inscription : 21/07/2008
Localisation : Groland
Re: Ca remue les tripes...
Mind Matter a écrit:La puce de la carte CORA,...
C'est donc ça ????
Toutes tes cartes de fidélité regroupées en une seule et même
puce électronique, sans jamais craindre de la perdre puisqu'elle
sera dans ton bras ....
Elle est pas belle la vie ?
Re: Ca remue les tripes...
Chsé pas,..
Je demanderai à mon chat ce soir,...
Ce qu'il pense des puces,...
Je demanderai à mon chat ce soir,...
Ce qu'il pense des puces,...
Mind Matter- Grand Echevin
- Messages : 2047
Date d'inscription : 21/07/2008
Localisation : Groland
Re: Ca remue les tripes...
Mind Matter a écrit:Chsé pas,..
Je demanderai à mon chat ce soir,...
Ce qu'il pense des puces,...
Les animaux domestiques sont déjà pucés,
et cela ne leur pose à priori aucun problème.
Cet argument nous sera resservi plus tard pour
renforcer l'idée que les humains n'ont rien à craindre de la puce.
Re: Ca remue les tripes...
J'ai recueilli un chat abandonné,...
Pas pucé,..
Sinon de celles qui sautent,....
Pas pucé,..
Sinon de celles qui sautent,....
Mind Matter- Grand Echevin
- Messages : 2047
Date d'inscription : 21/07/2008
Localisation : Groland
Re: Ca remue les tripes...
Et moi alors ?
Qui viendra m'adopter quand après avoir refusé d'être pucé on m'aura abandonné ?
Les puces sautent ?
Misère ...
Qui viendra m'adopter quand après avoir refusé d'être pucé on m'aura abandonné ?
Les puces sautent ?
Misère ...
Re: Ca remue les tripes...
Ca dépend si tu es propre,...
Et gentil avec les enfants,....
Et gentil avec les enfants,....
Mind Matter- Grand Echevin
- Messages : 2047
Date d'inscription : 21/07/2008
Localisation : Groland
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